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Budget 2013 : trois questions préalables

 Peut-on parler de confiance et l’Etat garder sa crédibilité quand, pour prélever plus de 20 milliards d’impôts nouveaux, on invoque la rigueur sans définir les chemins d’une nouvelle croissance ? Et l’Etat, qui a failli, doit-il « déshabiller Pierre  sans dire comment il va habiller Paul ». Peut-il  ponctionner salariés et entreprises sans s’engager lui-même à se réformer ? Et surtout, sans redéfinir la contribution qu’on attend respectivement de l’Etat, des entreprises et des citoyens ? Le gouvernement a présenté, vendredi dernier, son budget 2013. S’il s’agissait de confirmer le professionnalisme et les qualités de gestionnaire de Bercy, pas de problème. Ça en a le look. Et s’il s’agit de répondre aux attentes des marchés financiers, cette présentation des comptes peut faire sens. Mais même dans une entreprise, ce n’est pas le comptable qui dirige. Et si les actionnaires s’accommodent d’une vision court-termiste, c’est la stratégie qui doit définir le plan financier et non l’inverse. De ce point de vue, ce qui était intéressant dans les discours de campagne de François Hollande, c’était ce diptyque : rigueur et croissance. Du deuxième volet, on ne sait pas encore aujourd’hui quelle est la consistance ? Le gouvernement a beau se référer à Keynes, on ne voit pas, dans le dispositif proposé, ce qui pourrait soutenir la demande (au contraire) et encore moins les offres industrielles nouvelles supposées tirer la croissance (énergies renouvelables, économie verte, services et santé) ! Je ne crois pourtant pas la récession inéluctable. Il y a des gisements de croissance à la portée des entreprises françaises. L’écart de compétitivité n’est pas si grand avec notre puissant voisin allemand qu’on ne se précipite pour le réduire. Mais ce budget ne sert pas cette politique-là. Plutôt que de baisser les charges, il les augmente. Et Jean-Luc Mélenchon n’a pas tort quand il dénonce la soumission aux marchés (ceux-là mêmes qui applaudissent et font monter les cours des entreprises qui licencient). Pour ma part, même si je salue une forme de courage politique, je crains l’effet récessif. Je refuse pour mon pays le modèle espagnol, portugais ou grec. Dans ce dernier pays, il y avait de la richesse. Les riches, devant la menace, sont partis en Suisse ou au Luxembourg et le peuple se retrouve à payer les dettes sans aucune stratégie industrielle, sans perspective de développement. L’Espagne, malgré la levée massive des impôts, continue de s’enfoncer faute d’investissements. Enoncer une nouvelle politique de croissance, c’est désormais un préalable. Et cela suppose qu’on interpelle chacun sur son rôle (secteur privé, secteur public) et sur sa contribution au développement. Ce qui m’amène à formuler trois questions :           1.   La gouvernance ? Les gestionnaires de l’Etat, des collectivités locales, des services publics et des administrations ont failli, il faut le marteler. Faut-il nourrir encore ces Léviathan d’une nouvelle ponction fiscale qui risque de pénaliser l’activité ? Quels sont les nouveaux mécanismes de gestion et de décision qu’on imposera aux institutions ? Et concrètement, avec quel échéancier ? Franchement, combler les trous sans réponse à ces questions, c’est mettre la charrue avant les bœufs, c’est retarder « les raisons de faire ».           2.   Les rôles, le pacte Etat/Entreprises C’est un nouveau pacte qu’il faut définir dans la relation entre les entreprises et l’Etat. Faire financer un secteur public (qui ne dit pas où il va) par les forces vives du secteur privé, ça ne peut pas mobiliser. A l’inverse, les plans sociaux comme la frilosité des entreprises par rapport aux nouveaux marchés témoignent qu’on a besoin d’un Etat investisseur (régulation, recherche, formation, équipements, etc.). Dans chaque secteur de croissance, il y a urgence à dire les rôles de manière pragmatique, sans rester prisonnier des vieilles idéologies : de l’Etat ou du privé, qui va investir, qui va supporter le financement ? Par  exemple dans le domaine de la culture : si on supprime la pub pour la télé, le mécénat pour le spectacle vivant, les arts plastiques et les niches fiscales pour l’entretien du patrimoine, qui va assurer le financement de la politique culturelle ? Encore des taxes ?           3.   Le modèle économique Dans la répartition des rôles, l’Etat va évidemment avoir une nouvelle place. Mais avec quel modèle économique va-t-on raisonner ? Si la France s’est ainsi surendettée, c’est faute d’avoir anticipé les modalités de remboursement de la dette. Mais aujourd’hui, l’impôt risque de tuer l’impôt. Et de toute façon, la question du financement dépend moins des liquidités (surabondantes) que de la capacité à rembourser. Clairement, puisqu’il faudra investir dans les secteurs de la santé, des économies vertes, des énergies nouvelles, de nouveaux modes de transport, quels principes de tarification retient-on dès à présent, quels principes de remboursement, d’allocations ou de subventions ? C’est de ces choix dont dépend la croissance française. C’est dans la lisibilité des contributions, de la répartition des rôles et des engagements que se retrouvera la confiance. Confiance envers les entreprises, confiance envers l’Etat ! Il faut s’engager dès maintenant. Pas sûr qu’il y ait d’autres occasions !

8 Commentaires

Salut Mel!

Aujourd'hui je me pose la question de savoir où est l'intérêt de continuer à développer un système qui crée de la pauvreté! C'est bien beau de parler des "30 glorieuses" comme d'une époque révolue et de parler de récession inéluctable actuellement alors que la productivité a été multipliée et que la demande croit au niveau européen et mondial.
A force de gérer des lignes on ne se préoccupe plus des personnes. Résultat des millions de personnes que l'on culpabilise de ne pas travailler qui se retrouvent sans ressources, des usines qui tournent à faible régime et finissent par fermer, les investisseurs deviennent frileux au point de demander à l'état d'assumer des risques pour la mise en oeuvre de nouvelles activités.
Force est de constater que les syndicats étaient beaucoup plus forts durant les 30 glorieuses qu'aujourd'hui. Cela obligeait entreprises et gouvernements à prendre en considération les volontés des salariés et protégeait le pouvoir d'achat.
L'action syndicale est aujourd'hui mise en avant lors de médiatiques plans sociaux et voilà tout. Résultat: le fatalisme et la lutte pour ramasser des poignées d'euros!
A ce jour je ne connais pas le projet de vie que proposent les différents réseaux décisionnaires à par en effet celui du Front de Gauche qui a affiché vouloir le partage des richesses pour tous.

C'est bien le problème actuel! Le fameux partage des richesses et la répartition de l'impôt! Le système fiscal montre aujourd'hui ses limites puisqu'il est basé sur une zone géographique restreinte alors que le monde a vu ses temps de parcours se réduire, les barrières physiques et immatérielles tomber.
Il est grand temps d'ouvrir le chantier de l'harmonisation fiscale déjà européenne puis mondiale. Il y a de quoi embaucher du monde !
C'est fou comme les accords et les moyens pour faire la guerre se signent rapidement en comparaison avec le temps nécessaire pour réaliser des accords pour préserver la paix!
Puisqu'on parle politique, Jean Christophe Lagarde, député situé au Centre, a crée un parti qui se nomme Fed pour "Force Européenne Démocrate". Ne serait-ce pas un clin d'oeil pour rappeler l'existence d'une certaine institution?

L'Europe est une grande région du Monde dont France est une très jolie province. Qu'on le veuille ou non nous sommes dépendants des autres pays comme les autres pays sont dépendants de nous.

Et pour finir les marchés... Que penser des systèmes qui valorisent des entreprises qui fabriquent de l'alcool et du tabac en 2012.
Peut on compter sur les marchés pour faire évoluer notre société vers le haut?
merci pour vos textes, ils sont confiants, clairs, experts et motivés, un dirigeant pragmatique et avec une qualité exeptionnelle cultivée et professionnelle, cela promet pour une sérieuse réussite et de consolidation, active actuelle, très proche et durable ! il faut persévérer avec cette envergure d'entreprise societale et de valeurs enrichissante pour tous !
maintenant quelques notes sur le choix de la critique de gouvernance, effectivement il faut insister pour en avoir une, durable celle du développement durable, fidèle aux engagements de l'ONU et sécurisant pour faire évoluer une économie forte et juste équitable ! mais c'est aussi avoir les forces économique et de diplomatie qui doivent cadrer l'activité des secteurs professionnels sur le plan local régional national européen et mondial, sans cette cohérence c'est une perte grave de moyens de sécurité, de cohérence temporelle, il faut donc exiger cette gouvernance, s'en revendiquer sans prendre de risque, le monde ne permet pas de prendre de risque en aucun cas pour les autres pour soi pour la société ! donc les forces sont collectives et c'est du rôle des gouvernants et il faut des ressources taxes et impôts !
il convient de respecter les intérêts des uns et des autres, mais attention mettre en place maintenant des instances contre la précarité, la misère, l'insécurité c'est une oeuvre d'urgence et d'organisation, qui n'est pas du seul ressort des dons, des privés, entreprises privés, mais bien de la gouvernance, faire un remparts techniques avec des stuctures conséquentes et intégrées éfficaces, coordinantion de société générale. Favoriser les associations caritatives pour aussi en faire des institutions d'états et publqiues/Privées pour le respects des citoyens dans l'exclusions, le danger, et structures de respects des intérêts privés de l'activité et ses pratiques, des professionnels (tous)et leurs impératifs.
Après les soit disant milliards de l'économie mondiale c'est à nouveau une crise fondementale plus grave, avec des menaces internationales dont de guerre ! ce n'est pas étonnant, ni un gros mot ! mais la diplomatie demande de respecter tous les intérêts pour être juste et parvenir à sortir définitivement de la crise et certains politiques, y croit, s'y engagent agissent avec convictions, il faut les conforter dans cette résolution ! ils vont nous allons réussir cette réaction ! avant de la faire complètement ... par les armes, l'armée ce qui est aussi une très bonne solution !
Du moins c'est clair pour la gouvernance, ne laissons pas nos concitoyens ni nous même à la merci de l'ennemi et de la misère quelle quelle soit, d'où quelle vienne ! il y aura toujours "des solutions" évidement pas toute faites comme vous le dites très bien !
état/entreprise : Il manque les 28 % de votant aux prud'homme, et avec cette activités dense du xxi ème siècle de formations de compétences de motivations, il faut insister pour mieux s'organiser et savoir communiquer sans se vendre ! une étape difficile à faire comprendre ce qui est réalisé doit s'intégrer être exploiter et durer en restant utile !
la vie des consommateurs, des citoyens, n'est pas à vendre, à jetter ! dirigeants y compris !
attention : les hyperstructures mondiales sont essentielles pour la paix, la sécurité dont planétaire et d'avenir, la gms a un rôle, une fonction, une reconnaissance essentielle societale mondiale et restera indispensable à la démocratie moderne cosmopolite mondiale et aussi Onusienne, ce pacte est citoyen, et il faut en conclure, qu'il faut cette envergure mondiale, ses capacités et mettre en oeuvre les programmes suffisant, la gms doit se développer se qualifier aux rythmes sociétaux, et avoir une meilleure assise institutionnelle mondiale et citoyenne, stifaisant pour les consommateurs clients citoyens de la gms,des "LECLERC" et ce jamais sans les syndicats et représentations patronales et des autres parties prenantes !
union concerté et experte fait la force même communiquée à tous , ce n'est ni une honte ni un tabou, ni un gros mot ! il faut respecter tous les parties prenantes aucun n'ont rien a apporter inclus les sans avis ni action !
le modèle économique : d'abord avec des fondations et bases solides expertes, fillières réseaux mode de consommations des clients : organisation générale et modèle du développement durable avec les autres secteurs d'activités c'est clairs pour les partis prenantes c'est experts dans les programmes et applications, adaptés aux situations spéciales avec des moyens appropriés et éfficaces : environnement - économie - social ! c'est aussi justice sécurité et respect des institutions de démocratie pour une représentation universelle !


un gestion d'organisation gms experte à réaliser ! vous en avez les qualités MEL !
vous avez déjà réussi il faut continuer et surtout le but du message persévérer pour
un développemnt durable de Votre Concept qualifié " GMS LECLERC " !
Breton c'est sûr ! Français certain ! Européens c'est très bien et à développer ... ! attention à l'international !
mais dans le message peut de commentaires sur l'obstruction conjoncturelle à éliminer !
merci encore pour le blog LECLERC MEL !
facile et splendide les commentaires, il est temps d'intervenir à Sciences PO, puisque des cours d'économie sont enseignés par la plupart des journalistes qui défilent comme vos produits sur la 5 , l'économie et l'état sont indivisibles et tout est transparent, le raisonnement c'est la fuite en Suisse et de ne pas baissez les bras, c'est d'intervenir auprès de ce cercle politicar qui barde les jeunes de lois, et oublient la réalité du terrain
l'éloquence appartient à quelques personnes, la réflexion à très peu, le pouvoir à l'élite, je constate que ce que vous dites, je l'ai entendu plusieurs fois, il est facile de raisonner dans le silence, mais agir face aux adverses c'est autre chose alors allez y , à Sciences Po formulez face à cette jeunesse pleine d'élan, déballez votre savoir, ils se souviendront de vous, ils vous attendent
Salut Mel!

Aujourd'hui je me pose la question de savoir où est l'intérêt de continuer à développer un système qui crée de la pauvreté! C'est bien beau de parler des "30 glorieuses" comme d'une époque révolue et de parler de récession inéluctable actuellement alors que la productivité a été multipliée et que la demande croit au niveau européen et mondial.
A force de gérer des lignes on ne se préoccupe plus des personnes. Résultat des millions de personnes que l'on culpabilise de ne pas travailler qui se retrouvent sans ressources, des usines qui tournent à faible régime et finissent par fermer, les investisseurs deviennent frileux au point de demander à l'état d'assumer des risques pour la mise en oeuvre de nouvelles activités.
Force est de constater que les syndicats étaient beaucoup plus forts durant les 30 glorieuses qu'aujourd'hui. Cela obligeait entreprises et gouvernements à prendre en considération les volontés des salariés et protégeait le pouvoir d'achat.
L'action syndicale est aujourd'hui mise en avant lors de médiatiques plans sociaux et voilà tout. Résultat: le fatalisme et la lutte pour ramasser des poignées d'euros!
A ce jour je ne connais pas le projet de vie que proposent les différents réseaux décisionnaires à par en effet celui du Front de Gauche qui a affiché vouloir le partage des richesses pour tous.

C'est bien le problème actuel! Le fameux partage des richesses et la répartition de l'impôt! Le système fiscal montre aujourd'hui ses limites puisqu'il est basé sur une zone géographique restreinte alors que le monde a vu ses temps de parcours se réduire, les barrières physiques et immatérielles tomber.
Il est grand temps d'ouvrir le chantier de l'harmonisation fiscale déjà européenne puis mondiale. Il y a de quoi embaucher du monde !
C'est fou comme les accords et les moyens pour faire la guerre se signent rapidement en comparaison avec le temps nécessaire pour réaliser des accords pour préserver la paix!
Puisqu'on parle politique, Jean Christophe Lagarde, député situé au Centre, a crée un parti qui se nomme Fed pour "Force Européenne Démocrate". Ne serait-ce pas un clin d'oeil pour rappeler l'existence d'une certaine institution?

L'Europe est une grande région du Monde dont France est une très jolie province. Qu'on le veuille ou non nous sommes dépendants des autres pays comme les autres pays sont dépendants de nous.

Et pour finir les marchés... Que penser des systèmes qui valorisent des entreprises qui fabriquent de l'alcool et du tabac en 2012.
Peut on compter sur les marchés pour faire évoluer notre société vers le haut?
merci pour vos textes, ils sont confiants, clairs, experts et motivés, un dirigeant pragmatique et avec une qualité exeptionnelle cultivée et professionnelle, cela promet pour une sérieuse réussite et de consolidation, active actuelle, très proche et durable ! il faut persévérer avec cette envergure d'entreprise societale et de valeurs enrichissante pour tous !
maintenant quelques notes sur le choix de la critique de gouvernance, effectivement il faut insister pour en avoir une, durable celle du développement durable, fidèle aux engagements de l'ONU et sécurisant pour faire évoluer une économie forte et juste équitable ! mais c'est aussi avoir les forces économique et de diplomatie qui doivent cadrer l'activité des secteurs professionnels sur le plan local régional national européen et mondial, sans cette cohérence c'est une perte grave de moyens de sécurité, de cohérence temporelle, il faut donc exiger cette gouvernance, s'en revendiquer sans prendre de risque, le monde ne permet pas de prendre de risque en aucun cas pour les autres pour soi pour la société ! donc les forces sont collectives et c'est du rôle des gouvernants et il faut des ressources taxes et impôts !
il convient de respecter les intérêts des uns et des autres, mais attention mettre en place maintenant des instances contre la précarité, la misère, l'insécurité c'est une oeuvre d'urgence et d'organisation, qui n'est pas du seul ressort des dons, des privés, entreprises privés, mais bien de la gouvernance, faire un remparts techniques avec des stuctures conséquentes et intégrées éfficaces, coordinantion de société générale. Favoriser les associations caritatives pour aussi en faire des institutions d'états et publqiues/Privées pour le respects des citoyens dans l'exclusions, le danger, et structures de respects des intérêts privés de l'activité et ses pratiques, des professionnels (tous)et leurs impératifs.
Après les soit disant milliards de l'économie mondiale c'est à nouveau une crise fondementale plus grave, avec des menaces internationales dont de guerre ! ce n'est pas étonnant, ni un gros mot ! mais la diplomatie demande de respecter tous les intérêts pour être juste et parvenir à sortir définitivement de la crise et certains politiques, y croit, s'y engagent agissent avec convictions, il faut les conforter dans cette résolution ! ils vont nous allons réussir cette réaction ! avant de la faire complètement ... par les armes, l'armée ce qui est aussi une très bonne solution !
Du moins c'est clair pour la gouvernance, ne laissons pas nos concitoyens ni nous même à la merci de l'ennemi et de la misère quelle quelle soit, d'où quelle vienne ! il y aura toujours "des solutions" évidement pas toute faites comme vous le dites très bien !
état/entreprise : Il manque les 28 % de votant aux prud'homme, et avec cette activités dense du xxi ème siècle de formations de compétences de motivations, il faut insister pour mieux s'organiser et savoir communiquer sans se vendre ! une étape difficile à faire comprendre ce qui est réalisé doit s'intégrer être exploiter et durer en restant utile !
la vie des consommateurs, des citoyens, n'est pas à vendre, à jetter ! dirigeants y compris !
attention : les hyperstructures mondiales sont essentielles pour la paix, la sécurité dont planétaire et d'avenir, la gms a un rôle, une fonction, une reconnaissance essentielle societale mondiale et restera indispensable à la démocratie moderne cosmopolite mondiale et aussi Onusienne, ce pacte est citoyen, et il faut en conclure, qu'il faut cette envergure mondiale, ses capacités et mettre en oeuvre les programmes suffisant, la gms doit se développer se qualifier aux rythmes sociétaux, et avoir une meilleure assise institutionnelle mondiale et citoyenne, stifaisant pour les consommateurs clients citoyens de la gms,des "LECLERC" et ce jamais sans les syndicats et représentations patronales et des autres parties prenantes !
union concerté et experte fait la force même communiquée à tous , ce n'est ni une honte ni un tabou, ni un gros mot ! il faut respecter tous les parties prenantes aucun n'ont rien a apporter inclus les sans avis ni action !
le modèle économique : d'abord avec des fondations et bases solides expertes, fillières réseaux mode de consommations des clients : organisation générale et modèle du développement durable avec les autres secteurs d'activités c'est clairs pour les partis prenantes c'est experts dans les programmes et applications, adaptés aux situations spéciales avec des moyens appropriés et éfficaces : environnement - économie - social ! c'est aussi justice sécurité et respect des institutions de démocratie pour une représentation universelle !


un gestion d'organisation gms experte à réaliser ! vous en avez les qualités MEL !
vous avez déjà réussi il faut continuer et surtout le but du message persévérer pour
un développemnt durable de Votre Concept qualifié " GMS LECLERC " !
Breton c'est sûr ! Français certain ! Européens c'est très bien et à développer ... ! attention à l'international !
mais dans le message peut de commentaires sur l'obstruction conjoncturelle à éliminer !
merci encore pour le blog LECLERC MEL !
facile et splendide les commentaires, il est temps d'intervenir à Sciences PO, puisque des cours d'économie sont enseignés par la plupart des journalistes qui défilent comme vos produits sur la 5 , l'économie et l'état sont indivisibles et tout est transparent, le raisonnement c'est la fuite en Suisse et de ne pas baissez les bras, c'est d'intervenir auprès de ce cercle politicar qui barde les jeunes de lois, et oublient la réalité du terrain
l'éloquence appartient à quelques personnes, la réflexion à très peu, le pouvoir à l'élite, je constate que ce que vous dites, je l'ai entendu plusieurs fois, il est facile de raisonner dans le silence, mais agir face aux adverses c'est autre chose alors allez y , à Sciences Po formulez face à cette jeunesse pleine d'élan, déballez votre savoir, ils se souviendront de vous, ils vous attendent

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