SOCIÉTÉ Actus / Débats

Rentrée pour tout le monde : le blog, j’y reviens…

Beaucoup d’internautes se sont manifestés depuis le début du mois et m’ont reproché de les avoir laissés en plan sur ce blog. Evidemment, ils ont raison. Comme vous le savez, j’écris mes posts moi-même. Je me refuse à faire semblant et à déléguer ce rôle à un collaborateur. Et ces derniers mois, j’ai pris beaucoup de notes, j’ai écrit sur des tas de petits bouts de papier, mais jamais avec suffisamment de temps ou de consistance pour partager avec vous ces écritures. L’activité professionnelle m’a conduit à multiplier les déplacements à l’étranger notamment. L’enseigne se développe activement en Pologne (où nous avons racheté les supermarchés du groupe Billa). Ce sera aussi bientôt l’occasion d’une implantation dans les Etats Baltes. Je suis allé en Asie, accompagner nos « auditeurs sociaux » dans les usines. Nous avons préparé l’ouverture des premiers centres E. Leclerc de la Martinique (des anciens franchisés Carrefour). Et j’ai pris aussi la distance nécessaire, cet été, pour travailler sur le plan d’actions de la troisième génération des Centres E. Leclerc (nous fêtons nos 60 ans cette année). Ajouté à cela, le lancement d’une fondation Edouard et Hélène Leclerc à Landerneau et quelques journées de repos bien mérité au soleil de Concarneau… Vous comprendrez pourquoi j’ai déclaré forfait… Mais voilà, je suis heureux de vous retrouver. Je me suis bien ressourcé, j’ai plein de sujets sur lesquels j’aimerais échanger avec vous. A demain donc…

10 Commentaires

Je vous cite :

"Je suis allé en Asie, accompagner nos « auditeurs sociaux » dans les usines"

Si c'est pour faire comme les Audits de vos concurrents, autant rester à la maison...

Visiter une usine désignée par les autorités locales bien propre, bien sociale, ou les ouvriers sont ravis, ou l'écologie est une priorité etc, tout le monde le fait, ça donne bonne conscience et tout le monde est content...
Marché de dupe.

Vous ne pouvez pas allez toujours au prix le moins cher et ensuite allez demander de faire du social dans les usines Chinoises.
Pourquoi n'y aurait il pas un magasin de permanence le dimanche lorsque l'enseigne a plusieurs magasins dans la ville ou dans le département au même titre que cela se fait pour les garages , les pharmacies? etc. etc...
Bonjour,
Je voudrais faire passer ici un message à Michel-Edouard Leclerc pour le remercier de son nouvel engagement en Martinique. Qu'il sache qu'il a le soutien de la très grande majorité de la population qui en a marre d'être raquettée depuis tant d'années et d'enrichir une poignée de nantis. Donc beaucoup d'espoir que les choses changent dans la grande distribution mais aussi dans d'autres secteurs comme la vente de pneus, les pièces automobiles où les différences de prix avec la métropole sont tout simplement scandaleuses.
Alors bienvenue à Leclerc en Martinique et merci par avance pour toutes les situations de rente excessive que vous arriverez à casser.
Une cliente suggère

Fidèle cliente d'un Centre Leclerc en région PACA, je me mêle peut-être de ce qui ne me regarde pas, mais je ne peux pas m'en empêcher.
Une vendeuse du rayon "frais" charcuterie/fromage/plats cuisinés m'a dit, quand je lui ai posé la question, que les restes (chutes de charcuterie, articles emballés arrivant au dernier jour de date limite), s'ils n'étaient pas tous vendus le soir-même (avec rabais), étaient jetés et que le personnel n'avait pas le droit de les récupérer, ni même les associations caritatives. On m'a dit la même chose au Centre Leclerc où mes parents font leurs courses.
Il m'est arrivé de constater que même le pain en sachet, quand la date limite est dépassée d'un seul jour, est jeté plutôt que soldé (néanmoins, des viennoiseries de la veille sont parfois soldées).

Bien sûr, c'est un bon gage de qualité pour nous, clients.
Si ces propos sont vrais dans la durée, je trouve que c'est quand-même dommage de jeter des aliments encore bons. Il ne s'agit pas de grandes quantités, heureusement, mais à longueur d'année...

Puisque vous êtes le "saint-patron" de l'enseigne, pourriez-vous trouver une solution pour que ces restes comestibles ne soient plus jetés ?

Il ne s'agit pas d'attirer une cohorte de nécessiteux le soir pour faire les poubelles de "vos" magasins. Les clients ou le voisinage n'apprécieraient pas... Et puis en cas d'intoxication alimentaire, l'enseigne pourrait être tenue responsable, avec les emballages retrouvés.

A mon avis, on pourrait permettre au SAMU social de venir récupérer discrètement ces denrées, ou les Restaurants du Coeur, des religieux, voire des associations pour la protection des animaux, par exemple (s'ils veulent bien !), pour les redistribuer tout de suite, afin d'éviter toute perte de qualité sanitaire et tout risque de contamination microbienne.

Il suffirait que vous conceviez une sorte de charte de solidarité que les différents magasins adhérents pourraient appliquer... ou non.

Meilleurs voeux pour cette nouvelle année.
(J'apprécie beaucoup le bio et les produits de bons terroirs français, continuez à nous en proposer !)
même constatation dans les magasins Leclerc que j'ai fréquenté, je partage entièrement les remarques et suggestions de mc8384...
Je vous cite :

"Je suis allé en Asie, accompagner nos « auditeurs sociaux » dans les usines"

Si c'est pour faire comme les Audits de vos concurrents, autant rester à la maison...

Visiter une usine désignée par les autorités locales bien propre, bien sociale, ou les ouvriers sont ravis, ou l'écologie est une priorité etc, tout le monde le fait, ça donne bonne conscience et tout le monde est content...
Marché de dupe.

Vous ne pouvez pas allez toujours au prix le moins cher et ensuite allez demander de faire du social dans les usines Chinoises.
Pourquoi n'y aurait il pas un magasin de permanence le dimanche lorsque l'enseigne a plusieurs magasins dans la ville ou dans le département au même titre que cela se fait pour les garages , les pharmacies? etc. etc...
Bonjour,
Je voudrais faire passer ici un message à Michel-Edouard Leclerc pour le remercier de son nouvel engagement en Martinique. Qu'il sache qu'il a le soutien de la très grande majorité de la population qui en a marre d'être raquettée depuis tant d'années et d'enrichir une poignée de nantis. Donc beaucoup d'espoir que les choses changent dans la grande distribution mais aussi dans d'autres secteurs comme la vente de pneus, les pièces automobiles où les différences de prix avec la métropole sont tout simplement scandaleuses.
Alors bienvenue à Leclerc en Martinique et merci par avance pour toutes les situations de rente excessive que vous arriverez à casser.
Une cliente suggère

Fidèle cliente d'un Centre Leclerc en région PACA, je me mêle peut-être de ce qui ne me regarde pas, mais je ne peux pas m'en empêcher.
Une vendeuse du rayon "frais" charcuterie/fromage/plats cuisinés m'a dit, quand je lui ai posé la question, que les restes (chutes de charcuterie, articles emballés arrivant au dernier jour de date limite), s'ils n'étaient pas tous vendus le soir-même (avec rabais), étaient jetés et que le personnel n'avait pas le droit de les récupérer, ni même les associations caritatives. On m'a dit la même chose au Centre Leclerc où mes parents font leurs courses.
Il m'est arrivé de constater que même le pain en sachet, quand la date limite est dépassée d'un seul jour, est jeté plutôt que soldé (néanmoins, des viennoiseries de la veille sont parfois soldées).

Bien sûr, c'est un bon gage de qualité pour nous, clients.
Si ces propos sont vrais dans la durée, je trouve que c'est quand-même dommage de jeter des aliments encore bons. Il ne s'agit pas de grandes quantités, heureusement, mais à longueur d'année...

Puisque vous êtes le "saint-patron" de l'enseigne, pourriez-vous trouver une solution pour que ces restes comestibles ne soient plus jetés ?

Il ne s'agit pas d'attirer une cohorte de nécessiteux le soir pour faire les poubelles de "vos" magasins. Les clients ou le voisinage n'apprécieraient pas... Et puis en cas d'intoxication alimentaire, l'enseigne pourrait être tenue responsable, avec les emballages retrouvés.

A mon avis, on pourrait permettre au SAMU social de venir récupérer discrètement ces denrées, ou les Restaurants du Coeur, des religieux, voire des associations pour la protection des animaux, par exemple (s'ils veulent bien !), pour les redistribuer tout de suite, afin d'éviter toute perte de qualité sanitaire et tout risque de contamination microbienne.

Il suffirait que vous conceviez une sorte de charte de solidarité que les différents magasins adhérents pourraient appliquer... ou non.

Meilleurs voeux pour cette nouvelle année.
(J'apprécie beaucoup le bio et les produits de bons terroirs français, continuez à nous en proposer !)
même constatation dans les magasins Leclerc que j'ai fréquenté, je partage entièrement les remarques et suggestions de mc8384...

Laisser un commentaire

Cette adresse n'apparaîtra pas à la publication
CAPTCHA
SOCIÉTÉ Actus / Débats

Débat : comment définir les droits humains ?

SOCIÉTÉ Actus / Débats

Hommage à Bernard Tapie