SOCIÉTÉ Actus / Débats

Prix des médicaments : le grand écart

Je réponds à Prévost, Levi, Steeve, Fredkar, Vexlard, Baudoin, Michon, guillaume… Vous avez raison, je m’y prends mal. En voulant argumenter sur les qualités d’un système qui serait plus concurrentiel, je suscite forcément l’énervement de la corporation. Posons donc la question autrement : trouvez-vous normal… ? Trouvez-vous normal que le magnésium ait autant augmenté ? Laissons donc tomber le problème que constitue l’arrivée éventuelle de E. Leclerc sur ce marché ! Quelle justification les tenants du système actuel peuvent-ils produire ? Trouvez-vous normal des écarts de prix aussi énormes entre pharmaciens d’une même zone ? Pensez-vous que dans ces exemples, les officines qui vendent 200 % moins cher vont déposer le bilan ? Et pensez-vous réellement que celles qui sont les plus chères ont des coûts de fonctionnement 2 à 3 fois supérieurs à ceux de leurs collègues les moins chers ? Nous dérangeons parce que nous posons clairement les termes du débat. Mais si vous pensez que la solution n’est pas de vendre des médicaments non remboursés dans nos parapharmacies sous le contrôle de nos diplômés de pharmacie, que proposez-vous ?

26 Commentaires

Bonjour Monsieur,

Je voudrais apporter quelques précisions sur votre campagne pour le moins ardue contre l'interdiction de vente de médicaments dans vos parapharmacie:

1/ La vente de médicaments, comme dans beaucoups de pays européens, est réservé aux pharmacies qui doivent répondre à des contraintes que vos parapharmacies n'ont pas (inscription à l'ordre des pharmaciens, contrôle des ARH, participation aux soins à domicile, participation au réseau Cyclamed, service de garde.....).Bref toutes ces contraintes qui ne sont pas rétribuées par la Sécurité Sociale sont la contrepartie de la vente.

2/Les textes réglementaires, certes contraignants, ont permis de réglementer et de surveiller la délivrance de médicaments en France, l'accès à toute la population aux soins par un quadrillage de l'ensemble du territoire permet une égalité vis à vis de la maladie.Comme tout entreprise les pharmacies doivent être viables économiquement et leur disparition poserait des problèmes d'accès aux soins très importants.

3/Les pharmaciens qui travaillent dans vos parapharmacie ne doivent en effet pas avoir une entière satisfaction professionnelle: faire de longues études et ne pas avoir de débouchés dans le secteur de la pharmacie et se "retrouver" à ne vendre que de la parapharmacie où aucun diplôme n'est demandé, cela ne peut engendrer que des frustrations, d'où une demande certe légitime mais hors sujet car ils ne travaillent pas dans des pharmacies mais des parapharmacie, ce qui n'est pas du tout la même chose.

4/Tous les sondages d'opinions indiquent la très bonne sinon l'excellente opinion que les français ont de "leur pharmacien d'officine" : disponibilité, compétence, conseils.... Je ne suis pas sûr que vos campagnes aggressives soient si profitables que cela.

5/Personne n'est dupe dans "l'histoire" si au non du pouvoir d'achat on peut prendre quelques parts de marché vis à vis de nos concurrents de la grande distribution et faire du bénéfice pourquoi pas, car comme tout le monde vous n'êtes pas "un philantrope" on se bat là où il y a de l'argent à prendre.

6/De même prenons l'exemple d'une personne qui habite à 10 km d'un centre leclerc et qui achète son produit de parapharmacie 3 euros elle aura dépensé en essence 1.2 litres(20 km allé et retour à 6L/100 km) soit environ 1.8 euros, sans compter le temps passé dans ce déplacement cette personne aura dépensé en tout 4.8 euros pour cet achat, à la pharmacie de son village avec ce même produit 40% plus cher 4.20 euros. Bien que cet exemple soit , on en convient, réducteur; la lutte pour le pouvoir d'achat n'est pas forcément là où on le pense.

En conclusion et sans polémiquer je vous citerais le vieil adage " On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre", la distribution des médicaments comprend certe une partie rentable mais aussi une partie où le pharmacien ne gagne pratiquement pas d'argent , c'est cette équilibre entre les deux qui permet d'avoir une distribution médicamenteuse et une couverture territoriale que nous envie bon nombre de nos voisins européens.
Pour information le prix en france des médicaments et de la parapharmacie est l'un des moins chers au monde ( voir la dernière étude de la commission d'étude santé de la commission européenne.
Peut être arriverons nous dans un futur lointain où les pharmacie vendrons des produits alimentaires et où la grande distribution certains médicaments comme aux USA...

Je vous prie d'agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.
c'est long et pas convaincant.
Ordre des pharmaciens : quelle utilité ?
personnel dans les parapharmacies leclerc: drole d'argument. Si ça plait à certains? pourquoi ce mépris ? et dans les pharamacies d'officine, quel est ce personnel qui n'est pas pharmacien ? quelles compétences ?
cout du déplacement : si je pouvais acheter un tube d'aspirine en même temps que ma brosse à dents, je serai content et ne ferai aucun km.
sondage ? tout dépend de la question qu'on pose: les français accepteraient ils de ne plus trouver de vitamine C en grande surface ? la réponse est non.
En effet, il suffit de voir une pharmacie du côté de St Germain des près bien connue des parisien, qui grâce à des tarifs très bas, ne désemplie jamais ... Nous avons besoin de médicaments moins chers.
Autre idée : si nous voulons avoir des prescription médicales moins chères et aider à la sauvegarde de notre système de sécurité sociale, je pense qu'il serait nécessaire d'avoir le juste nombre de médicaments et non des plaquettes qui finissent, au mieux, par retourner aux officines et, au pire, dans nos poubelles!!
Je crois que dans certains pays, le bon nombre de comprimés est mis dans un flacon par le pharmacien. Par contre, je ne connait pas la différence de prix qu'implique cette manutention des pharmaciens?
A+
je suis surpris par le caractère assez violent des remarques pour ou contre la démarche de MEL et du mouvement. Si la communication EL était moins polémique et NOIR/BLANC au démarrage, elle récolterait peut être moins de réactions de ce type...évolution souhaitable vers toujours autant d'impact, mais plus de positif?
Les variations de prix d'une pharmacie à l'autre me semblent gênantes pour le patient/ client, car, démarche commerciale bien connue, quand il est déjà rentré dans SA pharmacie, il lui fait confiance, ne va pas ressortir les mains vides, etc.; donc libre concurrence, et écarts de prix justifiés??
Parmi les officines, il y aussi toutes catégories de niveau de conseil et de contrôle, donc dans les médicaments libres à la vente, un % de pharmacies, que j'espère minimes, n'est pas plus aptes à cela qu'une zone de parapharmacie
La crainte que suscite E. Leclerc est d'un autre ordre: question de confiance et concurrence trop forte envers les "petits" et les circuits de proximité. Qui veut prendre sa voiture, et parcourir 2 à 10 km, quand il a un mal de tête. En travaillant sur ces 2 axes EL sera plus "crédible" dans sa démarche.
Enfin, il serait utile de rappeler la proportion de chiffre d'affaires et de rentabilité de chacune des catégories vendues en pharmacie. Peut-être par erreur, je crois me rappeler que la part la plus importance provient des médicaments de prescription.
A quand les gardes de nuit et de dimanche et feriés chez Leclerc ,et quand est-il du pénal en cas de vente sans dossier pharmaceutique du client dans des paras ou il n y a plus de pharmaciens .Ce n est plus obligatoire .Exemple Le Mans et Allonnes Leclerc fait des économies il n y en a plus ,trop cher
quel est le rapport? une parapharmacie, vend des produits sans ordonnances... et que vient faire votre question sur les gardes?
vous etes hors sujet! lisez les billets de MEL avant d'agresser...
Les médicaments dans les officines de pharmacie, les fruits légumes ainsi que l'habillement et la droguerie dans les autres commerces, chacun sont boulot.Les grandes surfaces n'ont pas besoin de vendre les médicaments pour vivre ,elles ont déjà contribué à supprimer les petits commerces de proximité.Baissez plutôt le prix des fruits et légumes puisque leurs consommations contribuent à se maitenir en bonne santé puisqu'il faut 5 fruits et légumes par jour.Si les médicaments étaient vendus en conditionnements suffisants pour la durée de la maladie leur prix baisserait certainement.
regardez dans votre pharmacie du coin, vous y trouverez un coin épicerie fine ainsi qu'un rayon jouets(pour les plus grosses pharmacies)...
chacun son boulot = corporatisme.
Bonsoir Michel-Edouard,

Il existe une façon très simple de redonner pleinement son pouvoir d'achat au peuple français en matière d'achat de médicaments grand public en officine chose qui vous est apparemment chère.

Pas besoin de prix "bas" en GMS sans conseil d'un pharmacien quasi absent dans les rayons il suffirait tout simplement pour l'Etat de mettre en place un corridor des prix avec des tarifs mini et maxi incompressibles comme cela a été maintes et maintes fois demandé par nos syndicats professionnels au même titre que ce qui est actuellement en place pour les livres ou d'autres produits d'édition !

Encore mieux, gratifier un médicament d'une vignette Sécurité Sociale à taux zéro lors de son déremboursement de la part de la sécu ce qui bloquerait légalement le taux de TVA à 2,1% au lieu de 5,5% et surtout le prix au montant alors mentionné sur la vignette ce qui d'ailleurs pourrait laisser à ce moment là la possibilité aux organismes complémentaires de pouvoir rembourser ce que la Sécurité Sociale refuse alors de prendre en charge.

En fait vous devriez finalement proposer des services mutualistes en bon financier que vous êtes. Qu'en pensez vous? Je crois que ce serait sincèrement plus adapté que de vouloir jouer à l'apprenti sorcier comme vous essayez de le faire à l'heure actuelle !

A bon entendeur...

MG
produits contre le paludisme : faites un test, le pharmacien vous propose le plus cher, ne perd pas un instant à vous expliquer quoi que ce soit. C'est trop gentil de sa part. Il vous remet le produit qu'il a reçu par livreur le lendemain (logistique démentiellement couteuse). c'est de ce coté là qu'il faut chercher.
Une fois de plus, vous vous y prenez mal!
Vous n'avez pas la capacité de vendre et de CONSEILLER les patients sur des médicaments. On ne vend pas des médicaments pour vendre mais pour la santé des gens. Vos études de prix (tant de travail pour commettre autant d'erreurs, parlons de la TVA!) n'y changeront rien. Les problèmes ne sont pas là où vous les voyez.
Le groupe Leclerc se discrédite de jour en jour avec ces campagnes agressives et loin des priorités des français, ce post ne fait que confirmer que l'objectif de tout cela n'est que financier.
Réalisez donc un sondage pour savoir si les français sont prêts à laisser tomber le conseil officinal aux oubliettes au profit d'une baisse de prix minime. Devrais-je dire hausse (parapharmacies italiennes Leclerc)?
Pour finir, je rejoindrai Pasquier, qui a, je pense, une vision globale de la situation.
Commentaire publié par stéphane B le 31/01/11 à 23h18 sous la note "Matières premières et hausse des prix..." reclassé par la webmaster.


Mr Leclerc,
je suis pharmacien et vous me direz mon avis n'est pas objectif sur votre démarche de déstabiliser notre économie et c'est vrai.
Pourtant permettez moi de vous dire que la concurrence existe déjà dans notre métier et elle est déjà rude pour les petites structures.
Arrêtez de vous présenter comme le zorro de la consommation et concentrez vous plutôt sur les produits de premières nécessité comme l'essence et l'alimentation.
J'aime mon métier et vous êtes en train de jeter le discrédit sur toute une corporation qui se bat pour continuer à rendre une multitude de services à la population, ce que vous serez incapable de faire avec vos millions.J'ai faillis travailler dans une de vos parapharmacie mais votre comportement m'a dissuadé de le faire.
Vous avez peut-être perdu un eventuel salarié mais un client sûrement,je ne met plus les pieds dans vos magasins.
bien à vous.
Bonjour Monsieur,

Je voudrais apporter quelques précisions sur votre campagne pour le moins ardue contre l'interdiction de vente de médicaments dans vos parapharmacie:

1/ La vente de médicaments, comme dans beaucoups de pays européens, est réservé aux pharmacies qui doivent répondre à des contraintes que vos parapharmacies n'ont pas (inscription à l'ordre des pharmaciens, contrôle des ARH, participation aux soins à domicile, participation au réseau Cyclamed, service de garde.....).Bref toutes ces contraintes qui ne sont pas rétribuées par la Sécurité Sociale sont la contrepartie de la vente.

2/Les textes réglementaires, certes contraignants, ont permis de réglementer et de surveiller la délivrance de médicaments en France, l'accès à toute la population aux soins par un quadrillage de l'ensemble du territoire permet une égalité vis à vis de la maladie.Comme tout entreprise les pharmacies doivent être viables économiquement et leur disparition poserait des problèmes d'accès aux soins très importants.

3/Les pharmaciens qui travaillent dans vos parapharmacie ne doivent en effet pas avoir une entière satisfaction professionnelle: faire de longues études et ne pas avoir de débouchés dans le secteur de la pharmacie et se "retrouver" à ne vendre que de la parapharmacie où aucun diplôme n'est demandé, cela ne peut engendrer que des frustrations, d'où une demande certe légitime mais hors sujet car ils ne travaillent pas dans des pharmacies mais des parapharmacie, ce qui n'est pas du tout la même chose.

4/Tous les sondages d'opinions indiquent la très bonne sinon l'excellente opinion que les français ont de "leur pharmacien d'officine" : disponibilité, compétence, conseils.... Je ne suis pas sûr que vos campagnes aggressives soient si profitables que cela.

5/Personne n'est dupe dans "l'histoire" si au non du pouvoir d'achat on peut prendre quelques parts de marché vis à vis de nos concurrents de la grande distribution et faire du bénéfice pourquoi pas, car comme tout le monde vous n'êtes pas "un philantrope" on se bat là où il y a de l'argent à prendre.

6/De même prenons l'exemple d'une personne qui habite à 10 km d'un centre leclerc et qui achète son produit de parapharmacie 3 euros elle aura dépensé en essence 1.2 litres(20 km allé et retour à 6L/100 km) soit environ 1.8 euros, sans compter le temps passé dans ce déplacement cette personne aura dépensé en tout 4.8 euros pour cet achat, à la pharmacie de son village avec ce même produit 40% plus cher 4.20 euros. Bien que cet exemple soit , on en convient, réducteur; la lutte pour le pouvoir d'achat n'est pas forcément là où on le pense.

En conclusion et sans polémiquer je vous citerais le vieil adage " On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre", la distribution des médicaments comprend certe une partie rentable mais aussi une partie où le pharmacien ne gagne pratiquement pas d'argent , c'est cette équilibre entre les deux qui permet d'avoir une distribution médicamenteuse et une couverture territoriale que nous envie bon nombre de nos voisins européens.
Pour information le prix en france des médicaments et de la parapharmacie est l'un des moins chers au monde ( voir la dernière étude de la commission d'étude santé de la commission européenne.
Peut être arriverons nous dans un futur lointain où les pharmacie vendrons des produits alimentaires et où la grande distribution certains médicaments comme aux USA...

Je vous prie d'agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.
c'est long et pas convaincant.
Ordre des pharmaciens : quelle utilité ?
personnel dans les parapharmacies leclerc: drole d'argument. Si ça plait à certains? pourquoi ce mépris ? et dans les pharamacies d'officine, quel est ce personnel qui n'est pas pharmacien ? quelles compétences ?
cout du déplacement : si je pouvais acheter un tube d'aspirine en même temps que ma brosse à dents, je serai content et ne ferai aucun km.
sondage ? tout dépend de la question qu'on pose: les français accepteraient ils de ne plus trouver de vitamine C en grande surface ? la réponse est non.
En effet, il suffit de voir une pharmacie du côté de St Germain des près bien connue des parisien, qui grâce à des tarifs très bas, ne désemplie jamais ... Nous avons besoin de médicaments moins chers.
Autre idée : si nous voulons avoir des prescription médicales moins chères et aider à la sauvegarde de notre système de sécurité sociale, je pense qu'il serait nécessaire d'avoir le juste nombre de médicaments et non des plaquettes qui finissent, au mieux, par retourner aux officines et, au pire, dans nos poubelles!!
Je crois que dans certains pays, le bon nombre de comprimés est mis dans un flacon par le pharmacien. Par contre, je ne connait pas la différence de prix qu'implique cette manutention des pharmaciens?
A+
je suis surpris par le caractère assez violent des remarques pour ou contre la démarche de MEL et du mouvement. Si la communication EL était moins polémique et NOIR/BLANC au démarrage, elle récolterait peut être moins de réactions de ce type...évolution souhaitable vers toujours autant d'impact, mais plus de positif?
Les variations de prix d'une pharmacie à l'autre me semblent gênantes pour le patient/ client, car, démarche commerciale bien connue, quand il est déjà rentré dans SA pharmacie, il lui fait confiance, ne va pas ressortir les mains vides, etc.; donc libre concurrence, et écarts de prix justifiés??
Parmi les officines, il y aussi toutes catégories de niveau de conseil et de contrôle, donc dans les médicaments libres à la vente, un % de pharmacies, que j'espère minimes, n'est pas plus aptes à cela qu'une zone de parapharmacie
La crainte que suscite E. Leclerc est d'un autre ordre: question de confiance et concurrence trop forte envers les "petits" et les circuits de proximité. Qui veut prendre sa voiture, et parcourir 2 à 10 km, quand il a un mal de tête. En travaillant sur ces 2 axes EL sera plus "crédible" dans sa démarche.
Enfin, il serait utile de rappeler la proportion de chiffre d'affaires et de rentabilité de chacune des catégories vendues en pharmacie. Peut-être par erreur, je crois me rappeler que la part la plus importance provient des médicaments de prescription.
A quand les gardes de nuit et de dimanche et feriés chez Leclerc ,et quand est-il du pénal en cas de vente sans dossier pharmaceutique du client dans des paras ou il n y a plus de pharmaciens .Ce n est plus obligatoire .Exemple Le Mans et Allonnes Leclerc fait des économies il n y en a plus ,trop cher
quel est le rapport? une parapharmacie, vend des produits sans ordonnances... et que vient faire votre question sur les gardes?
vous etes hors sujet! lisez les billets de MEL avant d'agresser...
Les médicaments dans les officines de pharmacie, les fruits légumes ainsi que l'habillement et la droguerie dans les autres commerces, chacun sont boulot.Les grandes surfaces n'ont pas besoin de vendre les médicaments pour vivre ,elles ont déjà contribué à supprimer les petits commerces de proximité.Baissez plutôt le prix des fruits et légumes puisque leurs consommations contribuent à se maitenir en bonne santé puisqu'il faut 5 fruits et légumes par jour.Si les médicaments étaient vendus en conditionnements suffisants pour la durée de la maladie leur prix baisserait certainement.
regardez dans votre pharmacie du coin, vous y trouverez un coin épicerie fine ainsi qu'un rayon jouets(pour les plus grosses pharmacies)...
chacun son boulot = corporatisme.
Bonsoir Michel-Edouard,

Il existe une façon très simple de redonner pleinement son pouvoir d'achat au peuple français en matière d'achat de médicaments grand public en officine chose qui vous est apparemment chère.

Pas besoin de prix "bas" en GMS sans conseil d'un pharmacien quasi absent dans les rayons il suffirait tout simplement pour l'Etat de mettre en place un corridor des prix avec des tarifs mini et maxi incompressibles comme cela a été maintes et maintes fois demandé par nos syndicats professionnels au même titre que ce qui est actuellement en place pour les livres ou d'autres produits d'édition !

Encore mieux, gratifier un médicament d'une vignette Sécurité Sociale à taux zéro lors de son déremboursement de la part de la sécu ce qui bloquerait légalement le taux de TVA à 2,1% au lieu de 5,5% et surtout le prix au montant alors mentionné sur la vignette ce qui d'ailleurs pourrait laisser à ce moment là la possibilité aux organismes complémentaires de pouvoir rembourser ce que la Sécurité Sociale refuse alors de prendre en charge.

En fait vous devriez finalement proposer des services mutualistes en bon financier que vous êtes. Qu'en pensez vous? Je crois que ce serait sincèrement plus adapté que de vouloir jouer à l'apprenti sorcier comme vous essayez de le faire à l'heure actuelle !

A bon entendeur...

MG
produits contre le paludisme : faites un test, le pharmacien vous propose le plus cher, ne perd pas un instant à vous expliquer quoi que ce soit. C'est trop gentil de sa part. Il vous remet le produit qu'il a reçu par livreur le lendemain (logistique démentiellement couteuse). c'est de ce coté là qu'il faut chercher.
Une fois de plus, vous vous y prenez mal!
Vous n'avez pas la capacité de vendre et de CONSEILLER les patients sur des médicaments. On ne vend pas des médicaments pour vendre mais pour la santé des gens. Vos études de prix (tant de travail pour commettre autant d'erreurs, parlons de la TVA!) n'y changeront rien. Les problèmes ne sont pas là où vous les voyez.
Le groupe Leclerc se discrédite de jour en jour avec ces campagnes agressives et loin des priorités des français, ce post ne fait que confirmer que l'objectif de tout cela n'est que financier.
Réalisez donc un sondage pour savoir si les français sont prêts à laisser tomber le conseil officinal aux oubliettes au profit d'une baisse de prix minime. Devrais-je dire hausse (parapharmacies italiennes Leclerc)?
Pour finir, je rejoindrai Pasquier, qui a, je pense, une vision globale de la situation.
Commentaire publié par stéphane B le 31/01/11 à 23h18 sous la note "Matières premières et hausse des prix..." reclassé par la webmaster.


Mr Leclerc,
je suis pharmacien et vous me direz mon avis n'est pas objectif sur votre démarche de déstabiliser notre économie et c'est vrai.
Pourtant permettez moi de vous dire que la concurrence existe déjà dans notre métier et elle est déjà rude pour les petites structures.
Arrêtez de vous présenter comme le zorro de la consommation et concentrez vous plutôt sur les produits de premières nécessité comme l'essence et l'alimentation.
J'aime mon métier et vous êtes en train de jeter le discrédit sur toute une corporation qui se bat pour continuer à rendre une multitude de services à la population, ce que vous serez incapable de faire avec vos millions.J'ai faillis travailler dans une de vos parapharmacie mais votre comportement m'a dissuadé de le faire.
Vous avez peut-être perdu un eventuel salarié mais un client sûrement,je ne met plus les pieds dans vos magasins.
bien à vous.

Laisser un commentaire

Cette adresse n'apparaîtra pas à la publication
CAPTCHA
SOCIÉTÉ Actus / Débats

Débat : comment définir les droits humains ?

SOCIÉTÉ Actus / Débats

Hommage à Bernard Tapie