
CULTURE
Actus - Débats
E.Leclerc, accès à la culture, et le service public
A l’heure où l’on s’interroge sur l’avenir de la distribution des produits culturels et sur ce qui restera de la culture quand elle sera totalement « multimédia », l’enseigne E. Leclerc confirme sa vocation : prioriser les contenus, soutenir la création, le débat et la diffusion partout où l’offre culturelle est de qualité. Avec ce parti pris devenu un leitmotiv de l’enseigne : donner aux artistes et aux auteurs la possibilité de rencontrer le public le plus large et donc, pourquoi pas, sur le service public !!!
Eh oui, c’est un paradoxe. Depuis plusieurs années, les chaînes publiques hésitent : concurrence des émissions plaisir, tyrannie de l’audimat, débat sur les horaires…eh bien, nous, on y croit. On croit à la vocation culturelle du service public. Et donc…on accompagne. A partir de cette semaine, et avec un investissement répété plusieurs fois dans l’année, les Espaces Culturels E. Leclerc parraineront 7 émissions de qualité.
4 Commentaires
La revente des produits finis prêts à consommer est devenu un vrai casse tête. Il faut bien se l'avouer internet est devenu une source pour le consommateur inépuisable.
C'est bien de communiquer son existence par le prisme de la télévision mais est-ce suffisant?
Je pense que le métier va changer et que pour exister les distributeurs vont devoir s'engager différemment.
La solution serait a mon humble avis que vous deveniez producteur et éditeur. (N'est-ce pas déjà fait?)
Ainsi l'enseigne aura ses artistes, ses auteurs, ses spectacles pour dynamiser les ventes et créer l'évènement dans ses points de vente.
Internet c'est bien beau mais ne remplace pas le contact, l'échange l'émotion de rencontrer une personne.
Il y en a un qui l'a bien compris. C'est Raymond Poulidor qui est le premier à se rendre disponible pour dédicacer ses livres en réalisant pour cela un nouveau tour de France des points de vente. Pour ceux que ça intéresse il sera au Leclerc de Pantin ce vendredi et ce samedi.
Et oui! La culture est devenue un secteur de vente assistée en magasin. Pour survivre à internet vos vendeurs vont devoir être des passionnés capable de répondre avec sincérité et technicité aux attentes des clients.
Il y aussi des dynamiques à remettre en place. C'est bien beau l'écran plat qui montre un jeu ou un clip mais un train électrique joliment décoré, un circuit de voiture c'est autre chose. Proposez du modélisme et vous gagnerez des clients. J'en suis certain!
La revente des produits finis prêts à consommer est devenu un vrai casse tête. Il faut bien se l'avouer internet est devenu une source pour le consommateur inépuisable.
C'est bien de communiquer son existence par le prisme de la télévision mais est-ce suffisant?
Je pense que le métier va changer et que pour exister les distributeurs vont devoir s'engager différemment.
La solution serait a mon humble avis que vous deveniez producteur et éditeur. (N'est-ce pas déjà fait?)
Ainsi l'enseigne aura ses artistes, ses auteurs, ses spectacles pour dynamiser les ventes et créer l'évènement dans ses points de vente.
Internet c'est bien beau mais ne remplace pas le contact, l'échange l'émotion de rencontrer une personne.
Il y en a un qui l'a bien compris. C'est Raymond Poulidor qui est le premier à se rendre disponible pour dédicacer ses livres en réalisant pour cela un nouveau tour de France des points de vente. Pour ceux que ça intéresse il sera au Leclerc de Pantin ce vendredi et ce samedi.
Et oui! La culture est devenue un secteur de vente assistée en magasin. Pour survivre à internet vos vendeurs vont devoir être des passionnés capable de répondre avec sincérité et technicité aux attentes des clients.
Il y aussi des dynamiques à remettre en place. C'est bien beau l'écran plat qui montre un jeu ou un clip mais un train électrique joliment décoré, un circuit de voiture c'est autre chose. Proposez du modélisme et vous gagnerez des clients. J'en suis certain!
Vu votre page dans le Monde du 17 décembre 2013 sur la crise et la culture. Merci! Oui la crise est mortifère pour les biens et les pratiques culturelles et oui plus elle nous mord les mollets et plus nous avons besoin de culture!
Je m'inscris à 100% dans ce constat. Je travaille dans le spectacle vivant depuis plus de vingt ans, je peux dire sans fausse modestie que je suis un professionnel aguerri. Je crois profondément dans la rapprochement du monde de l'entreprise avec celui du spectacle. je viens même de créer ma propre structure de production pour travailler dans ce sens : Easy Rider Productions. Objet : diffuser des spectacles vivants en entreprises, collectivités, institutions…
L'entreprise a besoin de "contenu", nous le savons, elle a surtout besoin je crois de partage, d'émotions, de tranches de vie vécues en commun, d'histoires à (se) raconter. Quoi d'autre que le spectacle pour cela ? Les séminaires, colloques et autres évènements qui réunissent les salariés ou les partenaires se révèlent souvent vides de sens et d'intérêt. Le spectacle lui n'est jamais vide de sens ni d'intérêt. On adhère ou pas, mais en tout cas on réagit, on échange, on ressent. Et cela est la vraie richesse d'un évènement en entreprise…
Nous avons des choses à faire ensemble!
J'ai apprécié votre pleine page de Ouest France : "culture et crise !" De fil en aiguille je découvre : de quoi je me MEL ....et je découvre aussi un peu mieux votre engagement!
"le 3° millénaire sera culturel ou ne sera pas!" il me semble que c'est André Malraux qui écrivait cette phrase ...à la fin du second millénaire!
De fil en surf sur Internet je me permet de prendre contact avec vous pour une information et peut être une rencontre concernant les projets 2014 de notre association:
notre association (loi 1901) imagine océans (www.imagineoceans.org) existe depuis 1997 et a pour thématique : des voiliers haute technologie à finalités éducatives et accessible à tout public.
Nous avons conçu, réalisé et faisons navigué(depuis 2007) une goélette (Tio 6.50), de 6,50 m de long, qui avec un sillage d'environ 5000 milles a emmené environ aussi 500 personnes ( dont 80% de handicapés) avec le plein de sensation (en toute sécurité) dans des surfs à 10 - 12 Nœuds et en pointe à 19noeuds par un vent maxi autorisé de 25 nœuds.
Au vue de cette réussite, l'association imagine océans lance une "campagne" de recherche de partenaires :
"en 2014 : 3 Tio ...c'est possible"
En premier lieu c'est une information que je vous porte en souhaitant établir un dialogue avec vous au regard de votre vision du futur.
Merci d'avance de l'intérêt que vous nous porterez,
Cordialement MEL,
Alain Chapoutot Président imagine océans mobile : 06 70 308 846
PS : actuellement je suis basé à Combrit Sainte Marine(29)