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Diviser l’inflation par 2, c’est possible !

im_blog_071008 J’ai participé, avec d’autres de mes confrères et concurrents, à la journée organisée, jeudi dernier, par la revue professionnelle LSA, sur le thème « La nouvelle loi LME et la négociation commerciale ». Il s’agissait de répondre aux questions de la rédaction (Yves Puget et Jérôme Parigi), et le moins qu’on puisse dire, c’est que les interrogations ne manquaient pas car dans la période qui s’ouvre (et qui se terminera en février puisque c’est la loi qui nous l’impose), nous allons vivre une véritable révolution culturelle. En prenant connaissance des courriers qui me sont depuis parvenus, il m’a semblé nécessaire de redire, ici, sous une forme peut-être plus cohérente, les éléments de stratégie qui vont animer les adhérents de notre enseigne dans les mois qui viennent. 1) Pour les collaborateurs et adhérents qui animent la politique commerciale des Centres E. Leclerc, le diagnostic ne fait aucun doute. Ce que l’on appelle « l’économie réelle » (par opposition à l’industrie financière) va être, en 2009, profondément impactée par la crise. Le crédit va se faire rare et plus cher. La production intérieure brute va continuer à reculer. Mais surtout, la consommation risque de perdre son rythme, déjà fragile, vu les perspectives de pouvoir d’achat. Nos équipes travaillent à partir des indicateurs établis par le BIPE à qui nous confions, depuis 2004, l’élaboration d’un indice de pouvoir d’achat effectif des Français. - Depuis l’an 2000, le pouvoir d’achat effectif (hors dépenses contraintes) a progressé moitié moins vite que l’indicateur macroéconomique du pouvoir d’achat élaboré par l’INSEE. - Pour 2008, le pouvoir d’achat effectif, selon l’indicateur BIPE/E. Leclerc, régressera de 1,3. - Pour 2009, les prévisions sont plus négatives encore (moins 1,9). Pour la première fois depuis longtemps, le revenu disponible des ménages va baisser pour deux années consécutives. 2) Cette situation est évidemment vécue avec anxiété par les ménages français. La tentation est forte d’accroître l’épargne liquide, mais aussi de restreindre le mode de vie en limitant la consommation. (Les foires aux vins, malgré leur attractivité, ont suscité un chiffre d’affaires bien moindre que les années précédentes (entre moins 12 et moins 20 % selon les enseignes). 3) En ligne de mire, les fauteurs présumés de l’inflation. Les études publiées par le CREDOC confirment une perte de confiance dans les grandes marques industrielles et les enquêtes d’IPSOS révèlent une dégradation de l’image des entreprises de consommation. 4) Avec les HD (dont Netto d’Intermarché), les Centres E. Leclerc, Système U continuent à prendre des parts de marché. Dans le monde des hypers, notre enseigne bénéficie d’un capital confiance inaltéré, fruit de notre politique de prix bas mais aussi de la lisibilité de notre engagement permanent pour le pouvoir d’achat. Dès lors, cette situation nous confère une responsabilité. Non seulement, l’intérêt de nos entreprises (patrimoine, profitabilité, capacité de recrutement) exige que nous restions bien calés sur nos fondamentaux. Mais c’est aussi l’intérêt des industriels que de pouvoir s’appuyer sur le dynamisme de nos réseaux plutôt que d’essayer d’y faire passer des hausses de tarifs excessives. 5) Depuis « la rentrée », nous avons décidé de bloquer toutes les hausses tarifaires (5,7 % en moyenne) et d’inscrire la négociation commerciale dans une perspective draconienne : ramener l’inflation à 2 % en rythme annuel dans nos magasins dès le début 2009. Ce n’est pas encore une promesse, mais c’est notre objectif. Chaque contrat sera négocié individuellement, pied à pied, dans le respect du nouveau cadre légal, mais en ouvrant tous les tiroirs de la négociation. (Je ne parle pas ici des PME, ni de l’agriculture, mais uniquement des marques nationales). a) Les grandes marques ont invoqué, depuis 2 ans, la hausse des matières premières pour proposer des augmentations tarifaires importantes. Or, certains marchés se retournent : le beurre a baissé de 31 %, la poudre de lait de 35 % en moyenne, le blé (Eure-et-Loir) de 19 %, le maïs (Eure-et-Loir) 12 %, le sucre 2,6 % (août 2008 vs août 2007). Les consommateurs sont en droit d’attendre des baisses de prix effectives. b) La loi Galland a été abolie. Plus besoin de faire de la gonflette tarifaire pour proposer, par la suite, des compensations sous forme de rémunération de coopération commerciale. Donc parlons tarif et collons au marché : il faut des baisses directes. 6) Les résistances seront nombreuses. Certains arguments sont pertinents. Il est évident que nous devrons laisser passer des augmentations pour les entreprises qui s’approvisionnent sur des marchés toujours à la hausse (cacao, café, huiles). On va négocier les taux, chercher à étaler les hausses dans le temps. Mais pour rétablir la confiance sur les marques, il faut impérativement que baissent celles qui bénéficient de coûts d’approvisionnement plus faibles que l’année dernière. 7) Sous quelle forme ? Là est un autre débat. Des industriels (Panzani, Danone), sous des formes diverses, proposent des réductions de prix à leur seule initiative ou des articles plus cheap, îlots de baisse dans un océan de hausses. D’autres préfèrent attendre, maintenir des hausses de précaution, quitte à proposer des compensations sous forme de promotions ou de rabais éphémères. Les temps ont changé. Les consommateurs disent ne plus s’y retrouver dans le flot de suractivité promotionnelle et les révélations de 60 Millions de Consommateurs sur les bidouillages de packaging exigent qu’on revienne à une pratique plus transparente. 8) Alors, les promos, oui ! Elles sont nécessaires pour animer le marché. Mais d’abord le prix net, le prix lisible, le prix de référence. Voilà l’objectif. La loi LME a supprimé les marges arrière. Elle ne rend plus nécessaire toutes ces constructions artificielles dont l’élaboration constituait le menu principal de la négociation commerciale. Ce que veulent les consommateurs aujourd’hui, ce sont des offres claires. Il faut sortir du « tout promo », remettre de la performance dans les prix de fond de rayon quel que soit le niveau de gamme. Voilà nos lignes directrices. Place aux actes, à suivre…

24 Commentaires

Bonjour à tous et à MEL
Puisque vous parlez de promotions et de passage à l'acte cher Michel-Edouard, laissez-moi vous donner mon humble avis.
Travaillant moi-même dans votre entreprise j'essaye d'être au maximum à l'écoute des clients et de leurs nombreuses exigences même si je ne suis qu'un simple employé du "niveau le plus bas" (je ne m'en plains pas, personne ne m'a mis un couteau sous la gorge (je vous en remercie d'ailleurs) afin que "je travaille pour vous" et de plus je me sens très bien dans votre entreprise, sans flagornerie aucune).
Enfin bref, je m'éloigne un peu mais ce petit préambule me paraissait nécessaire afin que vous ne vous mépreniez pas sur mes intentions, mon but étant d'essayer de trouver le juste équilibre pour satisfaire à la fois la clientèle qui vous fait confiance et que je dois servir du mieux que je peux, ainsi que mes patrons qui me donnent la leur (de confiance) en me laissant côtoyer
cette même clientèle, en me laissant (pas que moi bien entendu) les représenter.
Donc, pour revenir à nos moutons, ce sont des catalogues promotionnels dont j'aimerais vous toucher deux voire trois mots.
Il arrive souvent que certaines de ces promotions (dans mon rayon et "mon centre Leclerc" en tout cas) soient excessives par rapport au prix pratiqué habituellement.
Pour que les lecteurs de votre blog se fassent une petite idée, permettez-moi de donner un petit exemple; un roquefort société vendu 27, 87€/Kg (enfin pour la virgule je ne suis pas sûr mais à quelques centimes près ça doit être le juste prix), se retrouve dans un de vos catalogues à 14€ et des brouettes/Kg. Un boudin noir aux pommes subit également le même traitement, de 10,55€/Kg il passe à 3, quelques €uros/Kg.
Alors où est le problème me direz-vous ?
Les clients devraient être contents de payer moins cher et je ne suis pas pour les ruiner ou les faire payer le prix le plus fort (de toute façon ce n'est pas de moi que dépend tout cela) mais le soucis (s'il y a soucis) c'est qu'après toutes ces promotions à prix cassés, que pensez-vous que me disent ces personnes en s'apercevant qu'un jour elles payent un produit 13€ par kilogrammes de plus ou de moins parce que ce dit produit figure dans un catalogue ou pas ?
Et bien, pour reprendre une expression assez en vogue actuellement, je vais vous le dire Monsieur Leclerc, elles pensent qu'elles se font arnaquer, elles pensent que nous jouons à notre gré avec les prix, elles pensent que l'on se fout un peu de leur...
Je ne fais que relater ce que j'entends malheureusement très souvent, ce n'est pas un procès que je vous fais mais puisque l'on ne me demande pas mon avis je vais le donner quand même.
Je crois vraiment que d'essayer de gagner honnêtement sa vie tout en essayant de pratiquer les prix les plus bas dans le domaine des hypermarchés est une attention des plus louables mais qu'il faut garder une ligne de conduite qui fasse que vos clients n'aient pas l'impression de n'être que de simples consommateurs avec lesquels vous jouez (je parle de ressenti et non de réalité, je ne vous connais pas personnellement et tant bien même l'inverse serait vrai je ne me permettrais pas de vous jugez, il existe des Dieux pour cela paraît-il).
Alors baisser les prix de quelques €uros est une chose dont je ne vais pas me plaindre puisque moi-même je suis un consommateur mais baisser les prix de plus d'une dizaine me paraît déraisonnable et incompréhensible pour les clients et pour moi-même.
Le résultat de cette "casse" des prix et non de promotions (enfin je le pense) fait qu'il me faut souvent jeter des produits après qu'un de vos catalogues soit sorti.
En effet, tant que le catalogue est de mise, pas de problème, les clients achètent et sont contents, mais, pour reprendre l'exemple du roquefort, quand il "repasse" à plus de 27€/Kg je me retrouve avec une grande difficulté à le vendre et sais très bien qu'il me faudra certainement en jeter quand la DLC arrivera.
Bon j'en ai peut-être un peu fait des tonnes me direz-vous mais je vous assure que ma démarche est noble, j'ai horreur de jeter de la marchandise, trop de personnes meurent de faim dans ce monde pour que ce problème soit pris à la légère, alors je vous en prie Michel-Edouard, pourriez-vous s'il vous plaît et si vous en avez le temps m'apporter quelques précisions à ce sujet ?
Parce que si vous avez de bonnes explications à ce problème (enfin je trouve que c'est un problème mais je n'ai bien sûr pas connaissance de tous les paramètres pour avoir une idée certaine sur ce sujet) je serais le premier ravi d'expliquer à "mes clients" le pourquoi du comment de ces promotions excessives à mon goût; imaginez leur tête quand je leur dirais que c'est vous-même qui avez pris le temps de s'intéresser à leurs préoccupations (en même temps que les miennes) et qu'enfin je pourrais leur répondre avec sincérité et connaissance du sujet.
En attendant de vos nouvelles ou pas je vous remercie de votre attention, si vous m'en avez prêté bien entendu.
Cordialement, Peter Pan, l'Eternel Enfant :-)
Bonjour MEL,
Ce n'est peut-être pas le bon endroit pour évoquer le sujet de l'emploi, mais je n'en ai pas trouvé qui corresponde sur votre site.
Donc, je poste ici !
Il me semble qu'une des clef majeure de reprise de confiance réside surtout et avant tout, même avant l'inflation, au travers du marché du travail.
Hors, nous assistons encore à une progression du chômage et pour ceux qui ont un emploi, les salaires sont bien bas.
A côté de cela, les enseignes de la distribution et notamment E.LECLERC embauchent. Seulement, les critères de recrutement n'y sont pas du tout orientés vers la diversité et les salaires sont bien faibles.
J'en veux pour preuve, qu'actuellement en recherche d'un poste, j'ai 20 ans d'expériences au sein de la distribution en BtoB. J'ai travaillé pour une filiale qui à l'époque était détenue par METRO, puis pour l'enseigne Promocash du groupe CARREFOUR, puis pour un réseau de magasins d'une filiale d'un groupe fabriquant de matériel grande cuisine. J'ai commencé comme chef de produit, puis responsable marketing, puis directeur de réseau magasins et j'ai ensuite créé mon entreprise. De retour sur le marché du travail, j'ai voulu proposer cette riche expérience à E.LECLERC pour un poste de directeur d'hypermarché. Et là, pas question, on me répond que je n'ai pas l'expérience de la grande distribution. De qui se moque t'on ? J'ai 20 ans d'expériences de la grande distribution. Parce que figurez-vous qu'en BtoB ça fonctionne exactement de la même manière qu'en BtoC. Je le sais, puisqu'en travaillant pour les groupes que je vous ai cité, j'ai non seulement participé à de nombreux échanges entre les enseignes BtoB et BtoC et j'avais dans mes objectifs notamment celui de développer les synergies.
Donc, dire à un candidat comme moi qu'il n'a pas l'exparience de la grande distribution tout ça parce que l'on ne connait absolument pas toutes les facettes de la grande distribution relève plus de préjugés que de critères factuels. Et j'ai l'immense regret de constater que des entreprises telles que celles de E.LECLERC fondent leurs méthodes de recrutement sur des préjugés. Sans parler de ce que la plupart du temps, on demande aux postulants aux postes de directeur d'hypermarché, de passer par un parcours de directeur stagiaire qui permet de le sous payer plusieurs mois, avant de prendre véritablement ses fonctions, sans tenir compte de ses compétences qui peuvent très bien être opérationnelles beaucoup plus rapidement. En gros, celui qui fera l'effort de se dévaloriser, peut prétendre à un poste de directeur d'hypermarché. Ce n'est pas flatteur pour cette profession et tôt ou tard elle finira par vous le faire payer.
C'est aussi un frein énorme à la diversité, qui vous devez bien le savoir est pour source de richesses.
Notez aussi que chaque candidat est aussi un client potentiel ou déjà client chez vous. Pour ma part, après cela, je peux vous garantir que je passerai de faire mes achats dans vos magasins.
Pour finir, je pense qu'outre les fluctuations des matières et les politiques tarifaires, les entreprises devraient aussi faire un réel effort pour que les personnes qu'elles emploient soient mieux rémunérées, quitte à rogner un temps sur les profits, afin que la consommation reparte. C'est aussi comme ça que la confiance redémarrera.
J'espère sincèrement que vous pourrez tenir compte de ces quelques remarques qui n'ont pour but que d'apporter de l'eau aux moulins !
Si le coeur vous en dit, n'hésitez à m'adresser un message : v.anselot@neuf.fr
Dans l'attente, je vous souhaite bon courage et bonne chance, nous en avons tous besoin.
VA
"La loi LME a supprimé les marges arrière. Elle ne rend plus nécessaire toutes ces constructions artificielles dont l’élaboration constituait le menu principal de la négociation commerciale."
Chiche, si je viens présenter à vos acheteurs un nouveau produit avec une copie de votre post, on pourra ne parler que de prix, sans coopération commerciale ?
Je dis ça, je ne dis rien, car certains de mes produits sont présents par le biais de grossistes dans vos rayons, et soit les grossistes en question me mentent pour me presser un peu plus, soit les acheteurs ne sont pas au courant.
Soyons beau joueur, disons que les 2 explications sont vraies.
Allez, un geste fort, annoncez clairement la disparition de la coopération commerciale, et faites en sorte que dans une négociation, il n'y ait que 3 lignes : prix tarif (de départ), remise (en %), prix net (qui serait réellement net de tout... arrêtons les "conneries" type double net-triple net-machinchose net qui n'est en fait pas clair du tout...)
Au lieu de nous envoyez deux catalogues de 90 pages glacées avec les mêmes articles avec une mise en page différente, envoyez nous en un et avec l'économie réalisé, utilisez le à faire baisser vos prix, de plus c'est bon pour l'écologie
Bonjour,
Si l'on s'attend à un recule de la consommation alors il est certain que la demande de crédit à la consommation va augmenter puisque le problème d'aujourd'hui est le pouvoir d'achat.
Demander des promotions et faire des prix bas n'est pas assez efficace car les frais financiers sont trop élevé pour le crédit à la consommation.
Donc aux distributeurs de proposer des crédits à T.E.G acceptable et a contrôler le taux d'endêtement du consommateur au lieu de prendre des frais des dossiers et autres qui double ou triple le prix du caddy!
La vrai bataille d'aujourd'hui est celle des frais financiers pratiqués dans l'économie réelle et les pratiques douteuses de commerciaux non formés a protéger le client.
Jugulez ce fléau et la consommation repartira avec 0% d'inflation.
Sincères salutations
Quel dommage de ne pas vous avoir entendu sur le sujet pour l'émission de F3 diffusée cette semaine. Apparemment vous n'étiez pas disposé à répondre à quelques simples.
Cher Monsieur Leclerc,
je pense que vous avez malheureusement un train de retard.
J'avais l'habitude de fréquenter votre magasin le plus près de mon domicile. J'y ai constaté depuis plusieurs années une augmentation constante des prix.
J'ai découvert le LIDL à côté de chez moi. résultat : des produits de qualité et un gain de pouvoir d'achat de 30% immédiat, sans carte de fidélité "bidon", sans promo en trompe l'oeil...
Pourquoi voudriez-vous que je revienne chez vous ?
Par ailleurs, si le pouvoir d'achat des français vous intéressait tant : pourquoi tout ce lobying pour empêcher la création de magasins de - 1000 m2 dans la loi de modernisation de l'économie ? Si ce n'est pour gêner l'implantation de nouveaux magasins de hard-discount qui vous font une vraie concurrence (pas la concurrence arrangée avec Carrefour, Intermarché ou Auchan) ?
Le mouvement est enclenché, il me semble difficile à inverser pour vous.
Bien à vous
Christophe
Votre discours démagogique est insupportable et vous pouvez nous épargnez vos leçons d'économie politique.
La manière dont vous positionnez vos campagnes marketing (la défense du consommateur) est tout simplement grotesque quand on voit la réalité des prix pratiqués dans les magasins Leclerc.
Vous êtes un rapace qui essayez de vous faire passer pour un agneau. Dites-vous que les consommateurs sont de moins en moins dupes de ce double discours.
Je rejoins totalement Christophe (commentaire précédent) pour me féliciter du succès mérité des hard discounters. L'actuelle crise financière ne fera qu'accélérer ce mouvement historique : le report des consommateurs vers ce type de magasins et la désaffection des hypers (Leclerc, Carrefour, Monoprix, Mousquetaires, Auchan, etc.). Les hypermarhés correspondent à un mode de consommation (très grandes surfaces, offre pléthorique, prix élevés, culte de l'automobile, image prétendûment moderne et conviviale…) hérité des années 70. C'est désormais terminé.
Salut MEL,
Dis moi, tu es au courant qu'il y a une grosse crise financière mondiale et que les banques sont en train de créer de la monnaie comme jamais ? Tu l'as écris quand ton papier ? Il y a 4 mois ?
Mais bon, c'est tout de même courageux de ta part de vouloir diviser l'inflation par deux. Après tout, c'est l'intention qui compte.
bonsoir, je ne peux pas commenter sur cette crise financière car je ne suis pas concernée . Par contre, Mr Michel - Edouard LECLERC peut-il me répondre à ma simple question . Pourquoi je gagne 1000 net/mois avec 30 ans d'ancienneté, il fait style pour les clients et rien pour diriger ces partenariats de certaines entreprises qui elles font des bénéfices et que moi qui me donne à mon travail je n'ai aucune reconnaissance .
Veuillez recevoir Mr E.M. Leclerc mes salutations distinguées
malgré mon bas niveau d'étude mais pro.dans mon travail
Ainsi l'inflation prévue serait de 4 % ? D'où ce chiffre sort-il ? Je suis commerçant et, tout comme Leclerc, je vends essentiellement de l'alimentation. Je ne fais pas d'hypothèses aussi basses... Mais il est vrai que nous avons l'art de manipuler des chiffres "magiques" !
J'ai fait un copié-collé de votre article car il sera sans doute amusant de le comparer à la réalité dans un an...
;-)
Bonjour au donneur de lecons de morale
Surtout plus de votre publicité radio hystérique pour apater les clients que vous perdez tous les jours c'est du gachis Les gens sont assez adultes ne les prenez pas pour des enfants ma remarque concerne autant Champion Carrefour Auchan et les autres SILENCE S'IL VOUS PLAIT MERCI
La remarque de Christophe est intéressante.
La bataille sur le prix de vente est nécessaire mais pas suffisante.
Il est nécessaire de s'attaquer aux produits associés comme le crédit revolving.
Vous me direz c'est la crise financière!
On remarquera que le monde est devenu communiste avec les banquiers, et bien devenez communiste avec les consommateurs en pratiquant des crédits acceptables car tous les gens solvables vont aller chez Lidl et il ne vous restera que des gens qui ne peuvent pas payer.
Cher Monsieur,
Après vous avoir attentivement écouté, ce matin encore à canal +, vous ne cessez de dénoncer des pratiques peu commerciales des autres enseignes notamment en ce qui concerne la baisse des prix. Je pense qu'il conviendrait que vous cessiez cette totale hypocrisie qui vous va si bien.... A vous entendre vous seriez presque, vous même, victime de la non application des baisses des prix. Si vous êtes sincère comme vous le prétendez, baisser véritablement les prix dans vos magasins et vous verrez que les autres enseignes seront obligées de suivre le mouvement. Par ailleurs, je constate que bien souvent dans le centre LECLERC où j'habite (SAPIAC à MONTAUBAN - 82), les produits de la marque REPERE sont "en rupture de stock" le samedi, comme par hasard, et nous devons n'avons d'autre choix que d'acheter des produits 1er prix (lorsqu'ils existent), ou de marque c'est à dire CHERS. Ceci dénote bien d'une démarche volontaire de faire payer les consommateurs un maximum afin que vos marges augmentent. Quant aux tickets LECLERC dont la publicité peut être qualifiée de "mensongère", qui nous font gagner de l'argent, quelle blague. Si je me base sur ma dernière dépense 120 Euros, j'ai gagné 0,96 €...MERCI MONSIEUR LECLERC. Bref pour conclure, les consommateurs seront toujours les dindons de la farce et des farceurs en tous genre.
Bonjour Monsieur Leclerc,
Je sors d'un magasin Leclerc et je vous livre une comparaison de prix faite ce matin sur le même produit :
il s'agit du thon au citron bte de 115 g marque saupiquet :
- boîte à l'unité : 1,74 euros
- 3 boîtes dont 1 gratuite : 4,43 euros
- 3 boîtes dites "prix choc" : 6,05 euros
Certes, si je prends le lot à 4,43 euros, je suis gagnant, mais je n'ai pas 1 boîte gratuite (1,74 euros X 2 = 3,48 euros)
Par contre, si je suis attiré par le prix choc, je me fait roulé dans la farine.
Dans votre article,que j'ai repris ci-dessous, vous parlez de prix lisible.
IL SERAIT TEMPS DE PASSER DE LA PAROLE AUX ACTES ! ET NE ME DITES PAS QUE C'EST LA FAUTE DU PRODUCTEUR.
J'aimerai avoir votre réponse à ce cas réel qui dément vos si beau propos.
"Alors, les promos, oui ! Elles sont nécessaires pour animer le marché. Mais d’abord le prix net, le prix lisible, le prix de référence. Voilà l’objectif.
La loi LME a supprimé les marges arrière. Elle ne rend plus nécessaire toutes ces constructions artificielles dont l’élaboration constituait le menu principal de la négociation commerciale.
Ce que veulent les consommateurs aujourd’hui, ce sont des offres claires. Il faut sortir du « tout promo », remettre de la performance dans les prix de fond de rayon quel que soit le niveau de gamme.
Voilà nos lignes directrices. Place aux actes, à suivre…
"8) Alors, les promos, oui ! Elles sont nécessaires pour animer le marché. Mais d’abord le prix net, le prix lisible, le prix de référence. Voilà l’objectif."
Alors appliquez-le et dès les prix fournis à vos franchisés. Depuis des années, je remarque une chose : ce que j'appelle une fraude au prix au kg. L'astuce est simple : pour un même produit (thon en boite, tomates pelées en boite), on prend soit le poids net égoutté, soit le poids total, pour calculer le prix au kg. du coup, le produit le moins cher peut avoir le prix au kg le plus cher. Alors quand, face à des produits au poids différents, on veut comparer avec le prix au kg, on se fait tout bonnement avoir !
Autre "fraude", typique des MDD et marques discount (toutes, vous n'êtes pas spécialement visé) : ne pas changer le packaging mais changer le produit à l'intérieur. Certes on ne se fait avoir qu'une fois, mais ça met en rogne.
Certes vos informations sont plus qu'intéressantes, mais en tant que consommateur, c'est plus litigieux car vos tirages sur les prix entrainent aussi des produits qui changent : confitures sans un g de sucre par exemple (60% de glucose-fructose, qui est un DANGER pour la santé), remplacement de l'huile de colza ou tournesol par l'huile de palme (là aussi, un DANGER pour la santé), et évidemment disparition du sucre au profit du sirop de glucose.
La question est donc : êtes-vous donc prêt à tirer tant sur les prix au mépris de la santé publique ? (question volontairement provocatrice, évidemment, mais essentielle, qui n'obtient jamais de réponse)
N'y-a-t-il pas moyen de se concentrer sur les produits de base, en proposant vraiment une baisse (sucre, farine, beurre, yaourts natures de base, pates diverses etc.) quitte à compenser avec des produits élaborés, qui, eux, ne sont pas indispensables. ça permet, selon ses moyens, d'avoir le produit au prix qui convient.
la baisse des produits sur fond de crises boursieres et de reccession ?
on peut baisser les produits ce n'est pas le probleme , le probleme est / est ce que la demande sera la.
des milliards pour les banques et 40 ans de crise consecutive, on peut se demander qui gere quoi.
29 accoucha des pires dictatures...le systeme est tellement verollé que nous n'avons pu produire qu'un Bayroux et une Royal en guise de renouveau politique c'est dire a quel point nous sommes largués...
alors quoi ? inflation? deflation? reccession?
j'ai du mal a comprendre.
Quelle horreur les Leclerc ! :-) Je préfère de loin le franprix d'en bas (et consommer moins de marques)
Biz biz
Commentaire publié le 26/10/2008 à 13:13 sous la note "Marcher sur la lune avec..."
> reclassé dans "Diviser l'inflation par 2..." par la webmaster
Dans les coulisses de la grande distribution , ecrit par un expert comptable impartial sur la G.D , et lu que par un certain nombre , on se rends compte que rien a change dans le principe du tout pour le consommateur . L on se rends compte que la marje arriere est une veritable usine a gaz , au profit de la Gd , que le plus riche de France est le proprietaire d Auchan .En temps de crise , est ce convenable ?
Je me souviens de votre Pere allant a une ouverture de C>LECLERC a ReDON ai engueule les adherents venus en grand nombre avec leur couteuses autos
Je me souviens auusi d avoir croise votre Pere a Landerneau , de l avoir salue et d avoir ete seduit pasr ce garnd Homme , avec qui j ai un enorme respect .
Celui ci avait trouve la parade par rapport aus intermediaires , mais avec le temps ,la durete des aheteurs de GD , c est retournee contre le conso, puisque il est evident que les industriels ont realisees de s perequations , rien de plus facile de s entendre entre eux , comme l on fait SFR ET BOUIGUES , par exemple >Je connais toute l histoire de la GMS et ses travers , je suiss pour que les gens s enrichissent dans notre pays , mais au point que vous ayiez , vous la GD en general remplacee a vous tout seul ce que votre Pere avait reussi a elimine , alors la MR EDouard , je ne suis plus d accord .Surprenez nous MR comme votre Pere l a fait , lui qui est CHATO PRATIQUANT , surprenez nous et ne soyions pas satisfaits des 2pour cent dans un premier temps que notre president a reussi a faire baisser , car il ne faut pas oublier qu ils sont de l ordre de 40 pour cent en bazar et de 70 pour cent en alimentaire .On est dans le n importe quoi .J AI CONFIANCE EN VOUS MONSIEUR , ne nous decevez pas
A BIENTOT
pari perdu, sarko fillon, ou la gouvernance de droite par la taxe, (on se demande pourquoi on vote a droite)te plombes sur l'objectif 2% de taxe en aval qui influeront sur la marge brute pour le poisson, j'en passe et des meilleures....
Bonsoir
Une pensée pour le responsable grand compte Nestlé qui a du manger son flamby
de travers !
Je serai curieux de savoir via la DGCCRF quand l'ensemble de vos pdv ont fait une baisse technique de leur prix en pdv sur ce produit...On accuse parfois les industriels de s'entendre mais là je pense que votre coup médiatique est révélateur d'une certaine forme de démagogie
Avez vous demander à vos magasins de s'alligner au plus vite juste avant la pub télé ? c'est juste une question !
Est ce véritablement un hasard ? que vous puissiez ètre moins cher sur ce produit presque partout en France et sur vos MDD et sur vos premiers prix ?
La déflation c'est bien pour le consommateur mais elle ne résout malheureusement pas les problèmes de fond de beaucoup de vos salariés
qui une fois que vos consommareurs n'auront plus les moyens de venir meme chez Leclerc ne pourront plus assurer à vos personnels des revenus déja modeste...
Olivier
« 3) En ligne de mire, les fauteurs présumés de l’inflation. Les études publiées par le CREDOC confirment une perte de confiance dans les grandes marques industrielles et les enquêtes d’IPSOS révèlent une dégradation de l’image des entreprises de consommation. »
Ha bon ?! Et qui fait pression sur les industriels ????
« 4) Avec les HD (dont Netto d’Intermarché), les Centres E. Leclerc, Système U continuent à prendre des parts de marché. Dans le monde des hypers, notre enseigne bénéficie d’un capital confiance inaltéré, fruit de notre politique de prix bas mais aussi de la lisibilité de notre engagement permanent pour le pouvoir d’achat. »
Inaltéré ??? En êtes-vous certain ?? Comment expliquez-vous la montée fulgurante des HD ???
« 5) a) Les grandes marques ont invoqué, depuis 2 ans, la hausse des matières premières pour proposer des augmentations tarifaires importantes. Or, certains marchés se retournent : le beurre a baissé de 31 %, la poudre de lait de 35 % en moyenne, le blé (Eure-et-Loir) de 19 %, le maïs (Eure-et-Loir) 12 %, le sucre 2,6 % (août 2008 vs août 2007). Les consommateurs sont en droit d’attendre des baisses de prix effectives. »
Oui, d’accord, et vos marges dans tous ça ??? Comme il est facile de rejeter la faute sur les autres !!! Dites quand tous les intervenants feront preuve de maturité, et assumeront qu’ils font TOUS du profit à outrance sauf… le petit producteur qu’on égorge…
« 7) Sous quelle forme ? Là est un autre débat.
Des industriels (Panzani, Danone), sous des formes diverses, proposent des réductions de prix à leur seule initiative ou des articles plus cheap, îlots de baisse dans un océan de hausses. D’autres préfèrent attendre, maintenir des hausses de précaution, quitte à proposer des compensations sous forme de promotions ou de rabais éphémères.
Les temps ont changé. Les consommateurs disent ne plus s’y retrouver dans le flot de suractivité promotionnelle et les révélations de 60 Millions de Consommateurs sur les bidouillages de packaging exigent qu’on revienne à une pratique plus transparente.
8) Alors, les promos, oui ! Elles sont nécessaires pour animer le marché. Mais d’abord le prix net, le prix lisible, le prix de référence. Voilà l’objectif. »
A trop retourner sa veste elle finie pas craquer… Quelles seront les réelles mesures prises ? Pourquoi attendre que 60 millions de consommateurs annonce « le vol » des industriels pour réagir ?? N’étiez vous pas au courant de cette tendance ? Vous nous parler du packaging des gros industriels, mais ceux des MDD, qu’en est-il exactement ?
Une loi ? Oui, mais pas n'importe laquelle... la loi MEL ?? Heu non pardon... la loi LEM ! Et puis n'oublions pas toutes les préconisations du rapport Attali dont le but et de "favoriser le pouvoir d'achat"... mais les marges dans tout ça ?! Et bien il faut tout simplement aller voir directement nos chers producteurs (ainsi on dégage une image de volontariat à faire travailler nos semblables), et puis on négocie les prix (le plus bas possible bien évidement) l'histoire de se faire sa marge en prétextant le coût élevé du transport (le plus souvent réaliser par les SCA elles-mêmes (ha bon en "interne" le transport et plus cher ??!)).
Bref, si les enseignes de grande distribution voulaient vraiment faire baisser les prix, elles le pourraient, ou à défaut rémunérer au juste coût les producteurs, ainsi que leurs employés qui eux travaillent durement pour nourrir leurs familles avec un misérable salaire de 1000€/mois ! A ces familles que leur répondez-vous ??
"Venez chez nous mes agneaux avec notre carte de fidélité (leclerc, auchan, carrefour, etc...) vous y gagnerez en cumulant de l'argent dont vous ne verrez jamais la couleur, mais qui, ne vous inquiétez, sera directement reversé dans les caisses de votre magasin préféré (en marge brut bien entendu) ! Et non, ne vous en faite pas, il ne nous viendrait jamais à l'esprit d'augmenter les prix de nos produits avant promotion ! "
Prenons l’exemple d’une promotion réalisée par un adhérent dans une publicité locale : quand vous gagnez 3% en ticket leclerc sur un produit pour lequel le prix a été augmenté de 1.5%, vous n'en gagner seulement que 1.5% et les 1.5% qu'il reste, vous les payer, mais le plus intéressant, c'est que vous nous les rendez quand vous videz votre carte leclerc !!! (et je sais ce que je dis pour y avoir travailler et entendu directement les chefs de rayon en parler !!!)
" NON NOUS NE VOUS ARNAQUONS PAS !!! "
o_0 non mais je rêve ?
Pour cela, j'ai décidé de ne plus faire confiance à la grande distribution classique, mais au hard-discount !!! Magasins dans lesquels, nous trouvons les produits qui sortent des mêmes usines auxquelles vous vous approvisionnez pour vos MDD (exemple : Pizza Sodebo, ou marque repère ou Leader Price), pour 30% moins cher et la même qualité !!! Vous me répondrez que vous avez également vos marques hard discount, c'est vrai, mais là c'est vraiment "pas bon" (je parle du goût et non des risques pour la santé parce que la confiture éco + doit avoisiner les 5kg de sucre pour une fraise, et le jus d'orange, une orange/bouteille et le reste en eau??? (Veuillez excusez mon sarcasme récurent ainsi que mon exagération...)).
Bref tout ça pour dire que si vous ne devenez pas honnêtes, les clients ne sont pas prêts de revenir chez vous... En effet, maintenant les clients ne sont plus fidèles à une enseigne mais multiplient les cartes de fidélité !!! Revenez à la réalité, VOUS N'ÊTES PLUS SEUL !!! il y a du monde autour de vous, concurrents, mais surtout consommateurs qui deviennent de plus en plus intelligents, et retournent vers leurs sources, on se fait notre petit potager, et on consomme de plus en plus du bio, on va au marché le matin, et on retourne chez nos petits commerçant (n’avez-vous pas remarquer le repeuplement des centres villes ???), et puis, on va vraiment au moins cher, et non pas au "bla-bla" médiatisé avec lequel VOUS NOUS BOURREZ LE MOU !!!
Sur ce, à bon entendeur...
Ps : la publicité comparative (celle pour les flamby dans le dedans de ma télé)n'est elle pas interdite en France??????????????????
Cher Michel Edouard Leclerc,
Lectrice passionnée de votre blog, et cliente au Leclerc de bois d'arcy (depuis des années), je vous félicite pour votre dernière trouvaille !!!
Comme vous le dites : "- Pour 2008, le pouvoir d’achat effectif, selon l’indicateur BIPE/E. Leclerc, régressera de 1,3.
- Pour 2009, les prévisions sont plus négatives encore (moins 1,9).
Vous proposez différentes solutions pour faire face à ce problème mais j'en trouve une particulièrement intelligente !!!
Suite à certains commentaires sur votre Blog, j'ai demandé à l'accueil du magasin s'ils avaient entendu parlé d'un appareil qui permet d'introduire toutes ses petites pièces de monnaie et de récupérer en contrepartie un Bon d'achat ou de recharger sa carte de fidélité...Suite à une réponse positive et quelques minutes de recherche...j'ai enfin trouvé cet appareil.
L'idée est GENIALE...surtout en période de crise....
Avec plus de 7 Milliards de pièces en circulation...il fallait y penser !!!
Je pense sincèrement que nous ne sortirons pas de cette crise avec "un remède miracle" mais avec des idées bien pensées...
J'encourage votre dynamisme et vos idées et je vous prie d’agréer,cher M.E.L mes respectueuses salutations.
Eva Ghiani
Bonjour Mr Leclerc,

Brièvement, je suis d'accord sur le fait qu'amélioration du pouvoir d'achat rime avec clarté de l'offre.

Alors comment se fait-il que de nombreux produits distribués dans vos enseignes et chez les autres (que je fréquente rarement pour cause d'éloignement...)sont souvent vendus plus chers par deux ou trois, ou typiquement en conditionnements dit "familial".
Exemple : 1 sachet de 16 pains au chocolat Pasquier plus cher que 2 paquets de 8 ? Pourquoi 100 sachet de thé Lipton Yellow plus chers que 2 boites de 50 ? Etc, etc...

Ne trouvez-vous pas cette situation aberrante ?

Bien à Vous.

Regis

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