
© Jacques Langevin / Deadline Photo Press
C’est le résultat d’une étude effectuée, chaque année, pour le compte de mon groupement par le BIPE (Bureau d’Information et de Prévision Economiques).
1) Pourquoi une telle démarche ?
C’est en 2003 que nous avons lancé ce travail d’analyse. A l’époque, syndicats ou organisations de consommateurs contestaient les chiffres officiels de l’inflation. Le passage à l’euro avait contribué à brouiller les repères… Et, par déduction, ce sont tous les concepts liés à la perception des ménages (pouvoir d’achat, niveau de vie, hausse des prix) qui se trouvaient remis en cause.
En tant que distributeur, je ne pouvais rester insensible à cette problématique. Mon activité professionnelle dépend évidemment du rythme de la consommation. La stratégie de nos entreprises, les choix d’investissements ou de marketing s’appuient sur des prévisions de dépenses que nous devons analyser « au plus près ». D’autant que l’anxiété générale des consommateurs à l’égard de leur pouvoir d’achat se reporte au premier chef sur les magasins qu’ils fréquentent…
C’est dans ce contexte que j’ai sollicité l’avis du BIPE : comment interpréter ce décalage entre chiffres officiels positifs et anxiété des ménages. Les chiffres de l’INSEE sont-ils pipés ? Y a-t-il un biais de méthode ? Les pondérations de chaque poste sont-elles adéquates ? Etc.
2) Du pouvoir d’achat global des ménages (INSEE) à la notion de « pouvoir d’achat libérable du consommateur » (BIPE)
Avant de recalculer un indice, les experts du BIPE ont d’abord recherché à appréhender ce que recouvrait le concept de pouvoir d’achat.
a)
La mesure du pouvoir d’achat construite par l’INSEE se base sur les indicateurs qui entrent dans
une logique de comptabilité nationale. L’INSEE prend en compte le revenu brut de l’ensemble des ménages français (salaires, résultats d’exploitation des agriculteurs et des professions libérales, revenus du patrimoine). Il ajoute les transferts sociaux. Il en déduit les impôts. Cet indicateur est ensuite déflaté de l’indice des prix à la consommation.
b)
Le BIPE ne conteste pas l’intérêt de cette approche. Mais elle a ses limites. Elle ne prend pas en compte la démographie des « ménages » (ce concept fourre-tout comprend aussi bien des célibataires que des familles de trois ou quatre enfants !),
ni l’hétérogénéité des structures de consommation qui en découle.
Surtout, cette approche, valable en macroéconomie, ne correspond pas au mode de calcul des consommateurs dans l’anticipation de leurs dépenses futures.
Parlons de la manière la plus imagée : chaque début de mois, dans les foyers, on « fonctionne » comme si, après la paie, on commençait par mettre de côté, dans une enveloppe, les cotisations et les impôts à payer, enveloppe à laquelle on ne touchera pas. Mais on mettra aussi de côté (et c’est ce dont ne tient pas compte l’INSEE) des remboursements, eux aussi incompressibles, tels que loyer, charges liées au logement, mensualités d’assurances ou de remboursement de crédits, carte de transport, etc. Il faut déduire du revenu brut les sommes accumulées dans ces deux enveloppes pour mesurer ce qui reste :
le pouvoir d’achat libérable, c’est-à-dire la capacité de dépenser.
L’étude menée par le BIPE pour E. Leclerc propose donc
un indicateur du pouvoir d’achat libérable, qui ne s’oppose pas à celui de l’INSEE, mais qui le complète. Un indicateur qui permet de mieux comprendre et d’anticiper les comportements des consommateurs.
(C’est l’indicateur du pouvoir d’achat libéré des ménages). Le BIPE va même plus loin puisqu’il propose d’apprécier cet indice en tenant compte non pas d’une catégorie globale « ménages », mais de descendre à l’unité de consommation, concept qui permet mieux de prendre en compte l’évolution de la démographie.
(C’est l’indicateur du pouvoir d’achat effectif du consommateur).
3) Mesure de l’évolution du pouvoir d’achat : analyse comparée des indices
Le tableau suivant récapitule, depuis 2002, l’évolution du pouvoir d’achat selon les différents indices.

On voit bien que, pour l’année 2005, le pouvoir d’achat libérable du consommateur a régressé (moins 0,7 %). Sans doute, est-ce la meilleure explication pour une conjoncture qui fut somme toute médiocre alors que les indicateurs officiels de pouvoir d’achat globaux s’affichaient positifs (1,1 %).
Pour 2006, les prévisions globales de l’INSEE permettent d’envisager un accroissement de 2,3 % du pouvoir d’achat global des ménages. Si l’on tient compte de l’augmentation des charges incompressibles qui incombent aux foyers, le BIPE estime que le pouvoir d’achat effectif affectable aux achats sera cinq fois moindre (0,5 %).
4) Les charges contraintes augmentent plus vite que le revenu disponible
Le BIPE a travaillé sur la notion de « dépenses incompressibles ». Il n’a retenu que les dépenses non arbitrables et non re-négociables. Exemple, on peut éventuellement prendre un transport collectif plutôt que sa voiture. Mais on ne peut pas re-négocier son loyer ou changer d’appartement tous les ans !!!
Pour 2006, les prévisions d’augmentation de ces charges sont les suivantes :
- Remboursement des crédits 10,7 %
- Loyer 6,1 %
- Charges liées au logement 6,0 %
- Assurances 4,2 %
- Transport (hors carburant) 5,0 %
On voit bien le problème : les pouvoirs publics ont raison de se féliciter d’une augmentation du revenu disponible qui atteindra 3,9 %. Ca faisait longtemps qu’ils n’avaient pas pu afficher un tel résultat. Mais comme en parallèle, les charges incompressibles augmenteront en moyenne de 7,3 %, on n’a pas les mêmes raisons de pavoiser dans les foyers.
5) Impact sur la consommation
Quand on regarde les prévisions officielles de consommation, elles sont plutôt bonnes (2,9 % pour la consommation
globale (INSEE) et 1, 7 %
par ménage). Mais ce rythme de consommation est très artificiellement entretenu. Vu la faible progression du pouvoir d’achat effectif ces trois dernières années, les consommateurs sont de plus en plus nombreux à réduire leur épargne (le taux d’épargne est passé de 18 % en 2000 à près de 14 % cette année). Ils ont recours de plus en plus à des crédits à la consommation, accroissant ainsi l’endettement des ménages.
Une situation que mon groupe juge viable à court terme, mais qui, fragile, ne garantit pas les conditions d’une poursuite de cette croissance à long terme. C’est à cette prise de conscience que voudraient contribuer les travaux effectués par le BIPE pour E. Leclerc. Une situation qui exige de nous, professionnels, la continuité, voire le renforcement d’une politique qui doit chercher à améliorer le pouvoir d’achat (par la politique de prix notamment) pour autant qu’on peut y contribuer.
31 Commentaires
Grâce à un certain M.E.L., la réforme de la loi Galland, en répercutant la marge arrière directement sur les prix de vente, une toute petite partie du pouvoir d'achat a augmenté. C'est déjà ça. Cela a peut-être permis de stopper l'inflation aussi jouant ainsi sur 2 tableaux. Mais, je serais plus proche du raisonnement de la BIPE (diminution des plafonds à l'aide personnalisée aux logements, séparation de la facture EDF/ GDF avec une augmentation en juillet...). Selon les différentes couches sociales et les inégalités de salaires, je serai également favorable à plusieurs indices INSEE du pouvoir d'achat. Et puis, ces indices ne servent pas qu'aux commerçants : modifiés de façon plus transparente, il ne pourrait que rendre compte d'une situation au plus près du terrain.
Tchao M.E.L.
Tableau n° 1 : Évolution du SMIC selon l’indice monétaire.
1968 1974 2003
Taux horaire net 2.46 F 5.58 F 5.75 €
Smic net pour 169 h en monnaie courante 415.74 F 943.02 F 971.75 €
Valeur du Franc convertie en euro 1 F = 1 € 1F = 0.63 € 1 €
SMIC net en valeur euro 415.45 596.93 971.75
Evolution du pouvoir d’achat de 1968 à 1974 - + 44 % -
Evolution du pouvoir d’achat de 1974 à 2003 - - +63 %
On constate une hausse du pouvoir d’achat plus importante entre 1974 et 2003 et une augmentation (+2.3 points) entre 1968 et 2003.
Cependant, après avoir repris une partie des données d’un article du N° 218 (octobre 2003) de la revue Alternatives Économiques où sont comparés des prix de produits et de services dont la valeur en francs de 1968 correspondrait à un euro 2002, j’ai constaté qu’en utilisant comme critère le taux horaire par rapport aux prix, l’évolution du pouvoir d’achat du SMIC avait stagné entre 1974 et 2003
Tableau n°2 : Évolution du SMIC selon son taux horaire.
1968 1974 2003*
Valeur de franc convertie en euro 1F = 1 € F 1F=0.63 € €
Taux horaire net du SMIC valeur en euro 2.46 5.58 F 3.53 5.75
- Un kg de faux filet 15.41 23.43 14.83 16.74
- Le journal le monde 0.50 0.90 0.57 1.20
- Nuitées 2 personnes 2 étoiles 47.51 70.00 44.31 51.62
- SNCF 300 km en 2 classe 33.00 34.50 21.84 30.40
- Place de cinéma 5.27 7.50 4.75 7.32
- Coupe de cheveux homme avec shampoing 11.90 15.90 10.06 16.93
- Consultation généraliste 13.21 23.00 14.56 20.00
- Gauloises bleues 1.41 1.50 0.95 3.50
- Ticket de métro 2 classe 1.00 0.80 0.50 1.30
- Baguette de pain 250 gr 0.53 0.65 0.41 0.70
- Timbre poste rapide 0.25 0.50 0.32 0.50
- Beurre 250 G 2.82 3.30 2.09 1.52
- Un kg de sucre blanc 1.43 1.92 1.21 1.38
- Un litre d’essence 1.06 1.25 0.79 1.10
- Un litre de lait 0.85 1.21 0.77 1.02
- Un litre de vin ordinaire 1.61 1.99 1.26 1.25
- Mille litres fioul 207.37 348.00 220.28 399.36
- Cent m3 d’eau potable 78.00 88.00 55.70 123.60
- Une heure de réparation mécanique 22.00 34.80 22.03 46.19
- Voiture 1 prix Française 5655.00 8900.00 5634.00 8900.00
Coût total 6100.13 9559.15 6051.94 9625.63
Rapport coût / taux horaire 2479 H 1714 H - 1674 H
Evolution du pouvoir d’achat de 1968 à 1974 - 45 % - -
Evolution du pourvoir d’achat de 1974 à 2003 - - - 2 %
* Prix convertis
Par cette méthode, on retrouve l’augmentation du pouvoir d’achat entre 1968 et 1974 mais on constate que celle-ci devient quasiment nulle entre 1974 et 2003. Par contre, si, on avait retrouvé en 2003 les prix de 1968, le gain de pouvoir d’achat aurait été, dès lors, multiplié par 2.3 (6100.13 /5.75 = 1061 heures ; 2479 h / 1061h = 2.3)
Cette comparaison semble indiquer que l’augmentation réelle du pouvoir d’achat entre 1974 et 2003 est loin d’être effective. En outre, si l’on effectue d’autres comparaisons entre 1974 et 2002-2003, on remarquera que de nombreux montants sont numériquement identiques, comme ceux concernant le taux horaire brut du SMIC (6.10 F en 1974 et 6.83 en 2002 soit pour 169 heures un SMIC net de 967 F et de 923 euros).Or, d’après une autre étude du hors série n°30 de 1997, la progression du pouvoir d’achat du salaire minimum avait évolué moins vite que celui du salaire moyen. Une comparaison de l’évolution du SMIC par rapport à d’autres salaires m’est donc parue intéressante à exploiter afin d’en connaître l’écart.
Tableau n°3 : Évolution des autres salaires par rapport au SMIC (Quid 1975 et 2003).
1974 2002
Monnaie courante F €
Salaire net SMIC mensuel 967 923
- Ouvrier non qualifier RATP 1318 1300
- Conducteur RATP 1854 1765
- Gardien de la paix 1815 1441
- Assistante sociale 1500 1276
- Professeur certifié 2143 1709
- Journaliste stagiaire débutant 1597 1500
- Journaliste rédacteur 2697 2000
Montant total des salaires 12924 10991
Nombre de SMIC 13 12
Baisse du pouvoir d’achat des salaires - 1 Smic
Ce tableau montre bien un écart du SMIC mais au détriment des autres salaires. Ainsi, l’ensemble de ces 7 salariés aurait perdu entre 1974 et 2002 l’équivalent d’un SMIC. Une nouvelle fois, on ne constate pas une augmentation du pouvoir d’achat du SMIC mais seulement une baisse du pouvoir d’achat des autres salariés.
Poursuivant sur des comparaisons, j’ai recherché l’évolution du SMIC par rapport au montant de la retraite de la Sécurité Sociale.
Tableau n°4 : Évolution de la retraite de la Sécurité Sociale par rapport au SMIC.
1974 2002
Monnaie courante F €
Salaire net SMIC mensuel 967 923
Plafond mensuel de Sécurité Sociale 2320 2352
Montant maximum de la retraite Sécurité Sociale 1160 1176
Retraite Sécurité Sociale / SMIC 1.20 1.27
Minimum vieillesse 525 553
Minimum vieillesse / SMIC 0.54 0.60
Ces chiffres semblent indiquer qu’un Smicard et un retraité sont actuellement dans la même situation économique qu’en 1974.
Marques de repères :
A l'apéritif :
- dans les vins blancs : un Chablis, du Muscat, un Sancerre,
- dans les vins rouges : un Bouzy Rouge, un Pinot Noir d'Alsace, un Sancerre Rouge,
- du Champagne de préférence brut.
Bon apéritif à tous,
Tchao M.E.L.
Le pouvoir d'achat souffre du prix de l'essence...
Pourquoi E.LECLERC ne se bat pas contre l'oligopole pétrolier en pronant la légalisattion et en proposant donc de l'huile végétale à la pompe?
Je suis conscient que le processus n'est pas aussi simple mais, cher MEL, cela serait impactant pour LECLERC, serait une nouvelle "grande cause", comme l'essence, la parapharmacie etc à l'époque et enfin, cela vous replongerait dans une belle aventure comme il y a plus de 25 ans avec la création de SIPLEC!
Merci d'avance au nom de la population francaise!
Pierre
Où pensez-vous trouver les terres agricoles, pour pouvoir planter suffisament d'oléagineux pour arriver aux 50 millions de tonnes de carburant consommés par les transports routiers, chaque année, en France ?
Un lien qui montre que votre idée est totalement irréaliste :
http://www.manicore.com/documentation/carb_agri.html
Quelques commentaires sur cette idée de calcul du "pouvoir d'achat effectif" se trouvent ici :
http://econoclaste.org.free.fr/dotclear/index.php/?2006/09/24/612-on-a-recu-cela-l-indice-du-pouvoir-d-achat-effectif
Cordialement,
http://econoclaste.org.free.fr/dotclear/index.php/?2006/09/24/612-on-a-recu-cela-l-indice-du-pouvoir-d-achat-effectif
de plus, la possibilité de suggérer des idées par le net au supermarché permet d'améliorer la qualité de service ; pour exemple, j'ai suggéré à mon supermarché de commercialiser la vente de bois de chauffage, non pas en sacs de 30kgs ; mais en vente plus massive à partir de l'automne : c'est aussi un marché à prendre car les prix ayant"flambé"!il serait interessant qu'un grand distributeur organise à grande échelle la vente de ce produit..c'est un exemple parmi tant d'autres de la possibilté d'adaptation à l'augmentation du prix des moyens de chauffage.
j'attends d'ailleurs de voir comment cela sera mis en oeuvre ou du moins étudié.
Le pouvoir d'achat proprement dit ne permet plus aux politiques d'aujourd'hui "de cerner la situation des ménages". Avec l'indicateur du pouvoir d'achat libéré des ménages, tel que définit par la BIPE, une meilleure transparence de la situation des ménages aurait nécessairement des effets positifs sur l'économie nationale. Plus les entreprises productrices et commerciales se portent bien, plus il en découlera des perspectives d'emploi à tout niveau allègeant ainsi une partie des dettes de l'Etat. Un hic cependant, beaucoup d'entreprises productives ne travaillant plus sur le sol français et la forte dépendance face à l'or noir, nous permet de dire que l'inflation ne devrait donc pas stopper. Si, certes, les entreprises prennent sur elles, comme Leclerc notamment et dans l'immédiat c'est une très bonne chose, il y arrivera à un moment donné que les bénéfices des entreprises diminueront. La dépendance en importation sur certaines denrées étant déjà très forte et les conséquences que cela implique au niveau de l'emploi et également au niveau de l' inflation ne provoqueront-ils pas l'effet inverse à celui souhaité sur du long terme ?
Tchao M.E.L.
moi je voudrais parler des OGM.
Face aux risques sanitaires et environnementaux que posent les OGM, une enseigne qui prône le respect de l'environnement, le développement durable et la sécurité alimentaire, ne devrait-elle pas tout simplement ne pas commercialiser de produits OGM ?
Or, j'ai découvert que dans le magasin Leclerc d'Echirolles (38) une huile de Soja (huile de soja Loumas 1 litre), issue de soja génétiquement modifié, produite par les Huileries de Sérignan.
En tant que consommatrice soucieuse des générations futures, je vous demande de faire retirer cette huile de vos rayons, et de vous engager à ne plus commercialiser de tels produits.
En attente de votre réponse, en consommatrice et citoyenne responsable, je ne fréquente plus les magasins qui vendent des produits issus de cultures OGM et passe le mot à mes ami(e)s.
J'espère donc que vous allez réagir vite et positivement, pour ne pas ternir votre image
Merci d'avance de m'avoir lue, et de m"entendre...
N. Favreau
Le pouvoir d'achat rend-t-il heureux?
Quand on en a énormément risque-t-on
l'indigestion?
Nous vous remercions de lire notre site.
Josette Brosse
Ce site est très intéressant..... il manque une idée de débat dans l'onglet des catégories : si vous le souhaitez je me ferai un plaisir de vous faire une proposition !!!
A.P.
http://www.festival-blogs-bd.com/
Vous viendrez faire un tour ?
Elles passeront de stériles a constructives pour le citoyen-consommateur quand les données détaillées de prix des produits et services seront publiées à la place de tous ces indices inutiles.
Le tarif devrait se situer autour de 0.80cts d'euro le litre :)
Ma vieille R21 essence n'attend que ca ! ;)
SixK
E85 = 85% ethanol + 15% essence
Pour rouler avec ca sur la R21, il faudra un peu d'adaptation ou alors couper avec 80% d'essence environ...
SixK
Abientôt donc MEL si vous avez envie de partir sur un vrai nouveau combat, le plus grand que vous aurez à mener...
par deux fois j'use et j'abuse du mauvais espace.
Je vous ai fait parvenir via les "premières planches" une idée de livre d'entretien et surtout, une perle, un entretien d'un de nos jeunes auteurs.
L'avez vous lu ou s'est il perdu dans les méandres de ce blog?
Et encore ne prend elle pas en compte les dépenses supplémentaires induites par l'augmentation du nombre d'années de travail avant la retraite (souscription de PERP ou PREFON pour avoir une retraire complémentaire si le nombre d'annuités est insuffisant, ou rachat d'années d'études)
responsable d'une petite Scop en Bretagne, après vous avoir écouté sur France inter, j'aimerais avoir votre avis au sujet d'un projet écologico-commercial à l'étude actuellement. pourrais-je avoir une adresse mel ou postale à laquelle vous envoyer plus de détails ?
D'avance merci. FP
Pourquoi les prix en euros ne sont-ils pas avec 3 chiffres après la virgule?, comme dans les stations services. Actuellement les prix sont arrondis à 2 chiffres après la virgule, quand vous faîtes le total vous additionner des arrondis d'où augmentation de la facture.
Si vous voulez défendre le pouvoir d'achat appliquer ce principe dans tous vos magasins.
Merci de votre attention.
Le lait infantil est 2 fois plus chère en France qu'en Allemagne comment l'expliqué vous ? y a t il entente, pourquoi il y a que 2 marques distributeur (Carrefour et Leader Price)
Merci pour votre réponse
Je suis proprietaire de deux compagnies aeriennes en Argentine et en Uruguay.
Jais constaté que vous êtes aussi un aventurié, passionné de bateaux et de navigation.
J'ai pensé vous parler d'un produit d'origine US qui m'a enormement séduit au point que j'ai acheté le produit et la marque (il s'agit de CAFE COLA).
Comme j'ai l'intention de commercialiser ce produit en Europe, je souhaiterai compter sur votre prestigieuse organisation.
(photo du produit envoyé au site webmaster Leclerc).
Salutation distinguées.
L Emir Fayez CHEHAB