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Prix trop chers : 6 articles retirés de la vente !
Je lis le titre du Monde daté de samedi (02/02) : « Leclerc fait semblant de retirer La Vache qui Rit… ». Le journaliste a le droit d’être critique ou de relayer les arguments de nos adversaires. Pour autant, je confirme, une centaine d’articles sont sur la sellette : les hausses tarifaires pour 2008 proposées par les industriels nous semblent exagérées, sans rapport avec la hausse des matières premières. Date limite de décision : fin février puisque la loi a prévu que cette échéance devait servir de terme à la négociation commerciale.
En attendant, les 6 articles dont nous avions publié les hausses et annoncé le retrait, ne devraient plus être en rayon dans les centres E. Leclerc, en cette fin de semaine.
J’entends bien le bruit de fond qu’essaie de générer l’ILEC ou l’ANIA pour n’avoir pas à s’expliquer sur ces hausses tarifaires incongrues : « coup de pub de Leclerc, chantage à la négo, marques prises en otages, etc., etc. ».
Nos amis de l’industrie peuvent dire ce qu’ils veulent, mais si, dans deux mois, les consommateurs étaient venus constater l’inflation en magasins, ce sont bien nos enseignes qui auraient été tenues pour fautives de ces dérapages de prix. Notre publicité aura au moins eu un premier mérite : obliger les industriels à assumer publiquement leurs hausses tarifaires ! (Aucun d’entre eux n’a contesté la véracité des augmentations que nous avons publiées !)
En réalité, ils n’ont pas d’argument.
Analysant les conditions tarifaires de chaque fournisseur, nos acheteurs se sont aperçus que, selon les conditionnements, certains articles augmentaient de 50 à 100 % plus vite que les autres articles d’une même gamme.
Ils se sont posés légitimement la question : pourquoi le Pulco Citron Vert a-t-il un tarif en augmentation de 4 % et le Pulco Citron Jaune de 19 % ? Les variations de cours du citron n’expliquent pas ce dérapage, n’est-ce pas ? Une seule interprétation possible : l’industriel pousse le prix à la hausse dans le cadre d’une stratégie marketing de repositionnement de son produit.
Idem pour La Vache qui Rit. Le prix du lait a certes augmenté spectaculairement, mais ce n’est pas avec ce lait de consommation que l’on fabrique le fromage. Et de toute façon, comment expliquer qu’avec un même lait, La Vache qui Rit par 12 augmente de 20,63 % quand celle qui est conditionnée par 32 n’augmente que de 13,84 %, et par 16 de 14,39 % ?
Et l’Ajax Fête des fleurs me direz-vous : eh bien, la hausse de 19,72 % ne s’explique évidemment par la hausse de la matière plastique. Il s’agit d’un repositionnement à la hausse d’une gamme, alors que, chez le même fournisseur (Colgate Palmolive), l’Ajax Multi-usages n’augmente pratiquement pas.
Bref, nos acheteurs ne font rien d’autre que leur métier de commerçant. S’ils ne le faisaient pas, on les accuserait de profiter eux-mêmes de la hausse des prix. Ils ont certes pris le risque que se déverse sur notre enseigne l’opprobre de quelques fournisseurs ou de clients insatisfaits. Mais il fallait choisir. Nous avons décidé que la sur-inflation ne passerait pas par nous.
Nous voulons écrêter les hausses et re-sculpter nos gammes pour les rendre plus attractives.
Le hard-discount doit sa réputation de prix bas à la non-commercialisation de produits de grandes marques (en tout cas, pas de manière importante). Les industriels n’y ont rien trouvé à redire. Des centaines de supermarchés et même de petits hypermarchés, faute de place, ont limité leur gamme en ne proposant aux consommateurs que les articles à plus forte rotation. Ca ne choque personne.
Nous, nous conservons l’objectif de tout promouvoir en linéaires. Si après réflexion, nos fournisseurs décident de reporter ces hausses ou de les modérer, c’est avec plaisir que nous les réintroduirons en rayons et nous le ferons savoir. Je m’y engage.
65 Commentaires
N'y a-t-il pas un risque que vous clients change d'enseigne quand ils ne trouveront plus ces produits en rayon ?
Je pense personnellement que les prix en france sont libres et qu'il faut laisser régler ce problème entre les fournisseurs et les centrales d'achats au finale c'est le consommateur qui jugera
par contre je trouve qu'il faudrait plus de magasin leclerc de moyenne surface type hard discount à taille humaine qu'en pensez vous
Cyril Urquain
Arrêtez de nous prendre pour des "jambons" monsieur, cette campagne, pardon, ce plan com aurai été mis en place il y a cinq ans au passage de l'euro, vous savez, l'année ou vous avez augmenté vos marges de 15 à 30 % sur le dos de vos consommateurs (et aussi sur celui de vos fournisseurs...), on y aurai cru mais là c'est un peu tard !!
Par contre dites-moi M.E.L, en parlant de plan com, n'auriez-vous pas d'ambitions politiques ? On se souvient d'un ambitieux ministre promettant une baisse des prix dans les hypers, négociant devant les médias avec les "grands" de ce secteur une augmentation du pouvoir d'achat... On sait ce qu'il est devenu...
A quand ce grand général de la "gaule", proclamant au milieu de l'allée centrale de son village d'irréductibles chef de rayons, devant le cercueil, pardon, le tombeau de tous ces produits de grandes marques, "je vous ai compris !!..."
Bonne chance à vous monsieur Leclerc, on est avec vous !
"les hausses sont tabous, on en viendra tous à bout !..."
Cordialement...
et si tu était mieux informé tu saurais que la campagne d'agrume cette année est catastrophique en terme de production demande donc a tes blairaux du galec le cour du citron avant d'ecrire n'importe quoi.
la ou tu as raison c'est que les fournisseurs que tu jettes sont de breles aussi car aucun n'est venu defendre ici sa cause.
Mais, bon tes militants exacerbés et vaguement benets fonctionnent a la devise de Beaumarchais
allez, chargez la mitraille et une bordée tribord sur le pont enemi!
Napoleon a perdu sa flotte de pretentieux a Trafalgar et c'est tres bien ainsi,
vu que mes enfants préferent cette marque j'irai désormais faire mes courses ailleurs.
En esperant que la plupart des francais qui soutiennent l'économie en France feront le même choix que notre famille.
Famille BAUDOUX dont le pouvoir d' achat est quand même limité.
A Gaillac (Tarn), le Centre Leclerc règne en maître. Sans concurrent à 20 km à la ronde, excepté un petit Intermarché en perte de vitesse, sponsor du rugby, employeur et annonceur tout puissant, c'est un acteur de la vie locale. On y vend depuis peu des vibromasseurs (petite et grande taille) au rayon Hygiène. Ils sont bien rangés, présentés dans leur jolie boite rose, protégés par un blister transparent, facilement visibles. Et accessibles, il suffit de tendre la main. Tout le monde en profite, surtout les enfants. Ces vibromasseurs sont juste à la hauteur de leurs yeux. Michel-Edouard Leclerc, le combat pour les prix, c'est bien, mais faut-il tout vendre et vendre de tout au nom de la consommation ?
Rien de plus à ajouter et que beaucoup de grands decideurs s'en inspirent dans l'esprit
et dans la lettre par solidarité envers la majorité de nos concitoyens durement touchés par la politique neo-reactionnaire qui est menée actuellement dans notre pays .
je ne suis ni journaliste, ni analyste, ni politique, mais bien un simple consommateur. Hier, je me dit, tiens on va voir si M. Leclerc respecte sa parole. Je vérifie donc 4 des 6 produits soit disants retirés de la vente, en bref, les brownies, l'ajax, la vache qui rit et le pulco, laissant de coté les deux crèmes de beauté, j'avais peur de ne pas trouver les bonnes.
Supercherie, ces quatres marques étaient belles et bien en rayon et en quantité ultra suffisantes.
Je pense qu'une personne de plus nous ment, mais je ne suis plus à ça près
salutations déçues M. Leclerc
ps : leclerc le neubourg 27110
Je répondrais WESTERN SPAGHETTI et POP CORN et je m'explique.
Pour le commerçant, la formation du prix de vente est un mécanisme simple d'ajout de marge à un prix d'achat d'un produit fini. Plus la marge est importante, plus le commerçant rémunère son acte de distribution (stockage, logistique, vente). Cette rémunération pourrait être sans limite s'il n'existait pas la concurrence puisque selon l'adage "ce qui est rare est cher". Le niveau de marge du commerçant dépend donc de ses concurrents.
Or le commerçant (ou le distributeur) est le dernier maillon d'une chaîne de création de la valeur qui suit un processus chronologique depuis la transformation de la matière vers l'article distribué, prêt à consommer. En d'autres termes, ce qui est un prix d'achat pour le commerçant est le prix de vente de ses fournisseurs et son niveau dépend du tarif et de la négociation avec les fournisseurs.
Donc la formation du prix de vente pour un commerçant dépend :
- de ses fournisseurs pour la partie prix d'achat
- de ses concurrents pour la partie marge.
Soit et puis quoi ?
Tout le monde sait cela, pas vrai ?
Reformulons donc :
le prix de vente dans le commerce dépendrait d'un double rapport de force avec les fournisseurs en amont et avec les concurrents en aval.
La Grande Distribution a joué successivement sur ces 2 paramètres pendant les 50 dernières années de son essor : d'abord en concurrençant directement et partout les petits commerçants, puis à partir de la Loi Royer en réduisant la pression concurrentielle entre enseignes par une répartition des zones de chalandise, ensuite et concommitament à partir des années 80 jusqu'au début des années 2000 en négociant ardemment avec ses fournisseurs locaux, essentiellement les PME et en encadrant au mieux la distribution des grands industriels (en opposant aux marques, les marques distributeurs), enfin en cherchant à bénéficier du dumping sur les prix d'achat que générait la mondialisation.
Mais depuis quelques années, ce modèle économique binaire (sur 2 paramètres) et conquérant semble marquer le pas :
- d'abord la marginalisation définitive du petit commerce ne laisse plus de terres rentables à conquérir facilement et pousse chaque distributeur à lorgner sur la zone de chalandise du voisin, jusqu'alors sacrée ... si on ne peut pas améliorer le taux de marge, on peut compenser en augmentant les volumes. En plus, l'E-commerce commence à rogner voracement et irrémédiablement ces terres fertiles du commerce de détail ...
- ensuite l'épuisement du terreau des PME locales ne laisse plus espérer que de maigres gains de marge et aprés l'aubaine du dumping sur les prix d'achat, la mondialisation menace de perturber la distribution puisque la concentration des capitaux est en train de passer des mains des distributeurs vers les poches des conglomérats industriels des pays émergents. On voit mal ces futurs maîtres de la finance attendre plus longtemps l'arme (et le cash) au pied avant de partir à la conquête des vertes prairies des marges commerciales.
Gare si cette intégration verticale de la chaîne de valeur se réalisait au profit des industriels "multinationaux" : les spécialistes de la grande distribution (seul pan de l'économie française encore 100% national avec les banques) en sont donc réduits à promettre toujours plus de dividendes à leurs actionnaires pour éloigner le spectre encore flou des possibles rachats conquérants et se mettre à l'abri.
Mais promettre plus de dividendes, c'est s'imposer de produire toujours plus de richesse c'est à dire en comptabilité de Valeur Ajoutée :
Or on vient de voir que tout concourt à une stagnation voire à un recul de la Marge Commerciale, et l'ombre de la baisse du Pouvoir d'Achat ternit encore le tableau.
Si en plus, vous faites le constat que les Charges Externes augmentent et ne peuvent aller qu'en augmentant puisque :
- le prix du foncier augmente verticalement sur les meilleures zones de chalandise urbaines,
- l'immobilier ancien doit être entretenu et le nouveau parc ne peut espérer que des zones de chalandise plus petites,
- l'augmentation du prix du pétrole renchérit le coût d'approvisionnement des magasins ...
DONC, à l'horizon, le futur proche de la distribution ne promet rien d'autre qu'une contraction sévère de la Valeur Ajoutée du secteur.
Il ne resterait plus alors aux Grands Distributeurs Indépendants comme variable d'ajustement qu'à limiter la redistribution de la richesse dans l'entreprise : l'Etat au travers des charges et autres impôts (qui parle de TVA Sociale ?), les banques (anecdotique pour la GMS) et les salariés. Dans un secteur d'activité aux conditions sociales déjà trés tirées, il semblerait que la mobilisation des salariés cette dernière semaine soit un premier coup de semonce.
Pour certains Grands de la Distribution, le modèle a déjà évolué depuis longtemps : ils ont déjà compris que le métier de distributeur n'avait d'autre intérêt que d'accumuler des flux financiers énormes qu'il convenait de gérer au mieux. Peu importe que les magasins ne gagnent rien sur leur exploitation, pourvu qu'ils n'en perdent pas. D'ailleurs ces Grands sont ils encore des épiciers ? Ne sont-ils pas déjà des banquiers ? Peut-être seront-ils les premiers à succomber à la tentation de Venise ... peut-être pas, n'oubliant pas comme Atlas que leur force ne leur vient que de la terre où reposent leurs pieds ...
Tout cela ressemble de loin à un mauvais western spaghetti, direz-vous. Peut-être ... les acteurs sont en place et il s'agit bien d'un mécanisme tragique parce qu'inéluctable. Quel sera le scénario : une guerre fratricide entre distributeurs, une coalition contre les industriels multinationaux, l'annexion, le retour des indiens du petit commerce et de la PME fournisseur, l'avènement du chemin de fer Internet, une crise sociale dans le secteur ?
Tous les acteurs sont en place ?
Et les consommateurs ?
Ben, dans tout ce barnum, ce seraient peut-être bien les spectateurs ...
Chut, la projection commence, faites passer le pop-corn ...
Vous annoncez le retrait de plusieurs produits de vos rayons en raison de hausses tarifaires trop fortes. OK, très bien. De votre côté, ne croyez-vous pas qu'un geste de compensation concernant les marges arrière (belle invention n'est-ce pas?)serait opportun.
Selon moi tout ceci n'est que démagogie. Votre annonce ne trompe parsonne et de toute manière au final c'est le consommateur qui paiera.
Cordialement
L.Gasnier
bien!
Retirer 6 articles de la vente et quels articles ! La Vache qui rit en boite de 16 qui ne se vend pas, une crême anti ride qui ne se vend que peu. Et organiser tout une action de communication autour de ces 6 produits est une escroquerie intellectuelle.
Pourquoi ne pas déréférencer la marque Bel qui fabrique la Vache qui rit ? Pourquoi ne pas déréférencer L'Oréal qui fabrique la crême anti-ride ?
Voilà une action courageuse qui défendrait le pouvoir d'achat et la lutte contre la hausse des prix.
Et si la lutte pour le pouvoir d'achat était réellement le crédo de MEL, alors comment expliquer les salaires aussi bas, les conditions de travail des caissières, la fermetures des usines qui travaillent pour les marques distributeurs car elles sont saignées à blanc et doivent délocaliser.
Je comprends fort bien que le discours au premier degré est séduisant. Mais malheureusement c'est une pure escriquerie intellectuelle.
Avec MEL nous n'en sommes plus à celà près.
Hélas.
prix 4€60 les mèmes paquets se retrouvent la semaine suivante en rayon à 1€ de plus.
renseignement pris dans le magasin, on m'a affirmé que cette pratique est courante.
au CHAMPION voisin ce mème article est toujours au mème prix de 4€60. Comment M° LECLERC explique cette pratique.
Vous vous faites passer pour le prince blanc de la défense du consommateur. Ce dont je doute dans la pratique... ET, maintenant que vous êtes acculé à remettre en cause votre système de fonctionnement financier, c'est à dire de payer dans des délais honnêtes vos fournisseurs, et à des prix honnêtes, comment allez-vous faire?
Le décallage de trésorerie qui vous permettait de placer cette masse de liquidité sur laquelle vous faisiez vos résultats disparraissant, où allez-vous chercher votre système économique?
Pas sur votre politique salariale, elle montre ses limites. Pas sur la baisse de qualité de vos produits "repère", ils sont déjà totalement inefficaces (batonnets de cole qui ne colle pas, sac poubelle qui se désoude...). Alors sur vos fournisseurs? Sur le paiement de "services" additionnels innexistants?
J'ai des hypothèses. Parlons-en. mais pas en homme de communication dont vous êtes experts, en Humanité et pragmatisme, en remontant aux origines de l'esprit fondateur de votre père, à Landerneau.
Lorsque le vent de la colère souffle dans les esprits la lumière de l'intelligence s'éteind...
J'ai bien l'impression que le pilote a sorti les volets pour ammorcer un virage qu'il a déjà effectué par le passé.
Après tout si je paye moins cher certains produits je ne vai pas m'en plaindre!
Sincères salutatons
dommage que le lien que tu envoies n'apparaisse pas sur process, j'invite le intenautes a cliquer sur le lien, ils auront la surprise des valeurs, cependant il y manque l'esprit de désobeissence....
difficile d'apprécier si la démarche des leclerc aura une répercution, mais dans l"esprit cela a le mérite de lancer le débat et mériterai d'etre repris par d'autres acteurs de la grande distri
Par contre je ne vois nulle part sur ce blog un sujet sur le niveau de rémunération des petites mains de la grande distribution, voila qui me convaincrait davantage de votre désir d'action pour le pouvoir d'achat des francais les + modestes. Considerez vous que le personnel Leclerc est payé a sa juste valeur ?
un sujet ou une réponse sur ces questions serait bienvenue car sur ces questions il y a un grand trou dans votre blog !
Bah, L'oréal ou les autres ayant le monopole, ce n'est pas un article en moins qui changera quelque chose. Il faut être réaliste. Ca fait mouche, mais c'est tout.
Tchao M.E.L.
Depuis l'euro on nous prends pour des imbeciles et je vous remercie M E L de mettre un coup de pied dans ce panier de crables.
Une proposition. il serait interessant d'afficher en meme temps que le prix du produit et son origine, l'augmentation de celui ci. Cela nous permetterais de les boycoter. Bien a vous et bon courage , continuer a les chahuter.
comme l'indique un de lecteurs de mon blog, est-il question de remplacer ces six produits par des produits de marque Leclerc ?
http://amiel.typepad.com/marketing_relationnel/2008/01/leclerc-ou-lart.html
En ce qui me concerne, je trouve cette démarche intéressante, il serait intéressant d'y associer un groupe de consommateurs "test" afin d'identifier chaque trimestre par exemple, les X produits perçus comme trop chers.
merci
1/ Tout d'abord, vous vous mettez "hors la loi" en ne respectant pas le délai de préavis minimum en cas d'arrêt d'un produit. Mais cela, on en a l'habitude avec vos équipes qui manipulent régulièrement les fameux codes 4 et 9 ...
2/ Ensuite quelle drôle de communication qui ne dit pas tout : ce n'est pas toute la gamme "La Vache Qui Rit" que vous supprimez mais uniquement un format, celui qui se vend le moins. Une communication décidément bien préparée par "le défenseur de la veuve et de l'orphelin" !
3/ Enfin, vous abordez le point Hard-Discount. Vous omettez de parler des pratiques de vos équipes mettant une "amende" aux industriels référencés avec leurs marques dans ces circuits.
On rit jaune lorsque l'on est dans les coulisses à Ivry sur Seine (siège de la centrale d'achat Galec pour les non initiés).
Réponse, il augmente aussi ce produit dans les mêmes proportions.
Pourtant, comme vous le soulignez, les autres composantes n'ont peut être pas variées.
Mis devant cette évidence, il s’est défendu : "Tout le monde fait ça"
L'habitude est prise de raisonner en pourcentage sans s'inquiéter des conséquences.
C'est l'enchainement infernal.
Il serait préférable je pense de s'occuper des conditions de travail des salariés de vos magasins!!!
Payer les heures supplémentaires dues et les R.T.T ......
Salaires corrects....
renseignez vous sur les salaires et les conditions dans lesquelles travaillent les salariés qui viennent remplir les rayons le matin à 6H.....
cordialement
Je cherche des partenaires pour exploiter l'énergie solaire et produire de l'électricité et du chauffage . Et je voudrais que votre magasin de la Seyne sur Mer ( Var) soit un exemple de lutte CONTRE LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE et installer sur les toits de votre magasin des panneaux solaire. Je ne sais pas quand vous recevrez ce message, mais je vous prie de répondre pour le 24 Février 08. Car je crée une Scop
Société Coopérative du Soleil pour ne pas laisser aux multinationales le monopole de l'énergie solaire où de l'énergie tout court!
En comptant sur votre collaboration recevez mes salutations P Muléro
A Gaillac (Tarn), la boite de 150 mouchoirs blancs ECO+ passe de 0,46 eur à 0,53 eur soit +15,2% d'augmentation.
Le thon en boite est plus cher en pack de trois boites que trois boites séparées prises à l'unité.
En été, les palettes d'eau et de lait sont exposées des heures en plein soleil quand la température dépasse 30°C à l'ombre.
Mais, mais, mais... à Gaillac, le Centre Leclerc règne en maître, sans concurrent à 20 km à la ronde, sponsor du rugby, employeur et annonceur tout puissant, c'est un acteur de la vie locale. On ne critique pas Leclerc. (Il vend depuis peu des vibromasseurs, voir mon post du 2/2/08.)
moi j'attend avec impatience une animation avec les vibro en tete de gondoles et une tg de poupées gonflables.
bientot des pipeuses chez leclerc?
Notre Stè souhaite développer une GMS culturelle dans un secteur ou ce genre de surface n'existe pas.
La création d'un espace culturel E-LECLERC nous semble judicieux à cet emplacement.
Pouvez-vous me dire quel service dois-je contacter?
Cordialement
Arretez de prendre les consommateurs pour des abrutis.
Votre politique et celle de vos concurrents mène notre pays droit dans le mur. Arrivé à un moment a qui sert cette politique du toujours moins chère ?
Pas aux consommateurs. Ils en ont pour leur argent. A moins chère moins bon. Ou alors cela profite à vos propres marques.
Aux salariés français : moins chère, cela veut dire pas en France ou pas par des PME. Ces dernières restent les 1ers employeurs en France. Cela entraine la paupérisation de vos clients, d'où un pouvoir d'achat moindre.
A vos salariés : à voir les mouvements sociaux dans la GMS, je ne pense pas que ce soit le cas. Travailleriez vous comme caissière en gagnant si peu ?? Vivement les caissières automatiques, au moins vous serez tranquilles. En plus les consommateurs y gagneront en pouvoir d'achat....
Je pense que les seuls à profiter de cette guerre sur les prix c'est vous.
Que dire du classement des fortunes dans les régions, vos adhérents et vos concurrents sont toujours bien placés.
Vous avez grâce aux lois obtenu un monopole sur vos secteurs. Ce qui a fait vos fortunes. (même si certains de vos adhérants sont prêts a fermer leur magasin si ils n'arrivaient pas à déménager..... De qui se moque t'on).
Sachez que j'ai un Leclerc tout à coté de chez moi, je n'y mettrai plus les pieds. Tout ce qui se passe en ce moment est à vomir (médiatisation sur les hausses de prix, tractage prenant en otage de pauvres salariés).
Continuez donc votre travail de paupérisation, tel un chevalier blanc, en jouant votre rôle de pauvre petit épicier qui défend ses clients contre les méchants producteurs (qui sont aussi vos clients...)
Cordialement
C'est bien mel le mel'honnete
C’est avec un grand intérêt que j’avais lu dans (presse écrite et internet) votre décision de faire retirer de la vente certains articles dont le prix avait été trop augmenté par vos fournisseurs. Par contre je me permets une remarque sur un produit Leclerc « marque repère », la plaquette de beurre de 500grs, Les Croisés, en juillet 2007 le prix était de 2.21€, le 26 janvier 2008 de 2.65€, ce qui fait une augmentation équivalente à celle de la Vache qui Rit il me semble ! Miracle le 8 février dernier le prix est descendu à 2.30€, mais le même jour le chocolat que j’achète habituellement : tablette d’Or de 200grs, lait raisins, noisettes, lui il passe de 1.48€ à 1.58€, donc ce que vous donnez d’une main, vous le reprenez de l’autre !!! Je suppose qu’il y a d’autres produits dans le même cas. J’ajouterai que le chocolat a lui aussi bien augmenté dans vos rayons. Le retrait de la Vache qui Rit est annoncé depuis quelques jour maintenant, samedi je vais au Leclerc de Châteaulin, à l’entrée 2 grandes affiches annonçant le retrait des produits que vous incriminez, pourtant la Vache qui Rit est toujours en rayons et dans des boites de différents formats !!! Coup de pub gratuit pour Leclerc ou moquerie du client !
J'avais bien noté le retrait de la Vache qui Rit. Je reçois aujourd'hui le nouveau catalogue valable pour la semaine. En promotion une promo VQR avec 25 pour cent gratuit et 25 pour cent sur la carte Leclerc ! C'était de l'info ou de l'intox ??
En plus on nous dit que l'on peut gagner si on achète ce fromage, alors qu'il y a quelques jours fallait pas. Je n'y comprends plus rien dans la défense du pouvoir d'achat.
Cordialement
le lait fermier dans mon magasin le leclerc
vaut 1euro20 a unico il vaut 099 si cela est le defense du pouvoir d'achat je n'i comprend rien!!!!!!!!!
cordialement