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BD : Angoulême, un festival dans la tourmente après le licenciement de son DG

img_blog_100306_fibd Jean-Marc Thévenet, directeur licencié, Benoît Mouchard, directeur artistique et Georges Wolinski, Président du Festival d’Angoulême 2005 Rififi sur les bords de la Charente. Jean-Marc Thévenet, le DG, mis à pied début mars, s’est vu confirmer son licenciement mardi dernier. Exit donc, JMT, à qui le FIBD doit (personne ne le conteste) sept belles années de stabilité, de succès et de rayonnement. 1) On lui reproche la signature d’un contrat avec le Festival d’Art Contemporain du Havre dont il deviendrait aussi DG… Je ne veux pas intervenir sur le fond de ce dossier. De toute façon, JMT a joué trop perso. Même s’il minimise ses autres prestations, il s’est mis à dos l’équipe du FIBD. Sa propre équipe, celle qu’il avait lui-même embauchée !!! La rupture avec l’association fondatrice semble irréversible. JMT a fait appel à Maître Pelletier (ancien ministre) qui conteste la décision… Les tribunaux trancheront. 2) Mon groupe a toujours su rester à sa place. Même si je suis membre du bureau, je me suis toujours refusé à m’immiscer dans la vie de l’association qui anime le FIBD. Pas davantage, je n’ai influé sur les choix artistiques. Tout au plus, un léger lobbying pour qu’on valorise mieux les scénaristes. Et en accord avec les autres partenaires (Caisse d’Epargne, ville d’Angoulême…), le parrainage d’un prix ou d’une exposition exclusive. De cette manière, nous confirmons la qualité du travail effectué par l’association de bénévoles et de passionnés, hier présidée par Yves Poinot, aujourd’hui par Dominique Bréchoteau, tous deux fondateurs de la manifestation. Leur engagement personnel mérite reconnaissance et soutien. Ils ont toute mon amitié. 3) Après 15 ans de partenariat et des millions d’euros investis, c’est l’avenir du festival qui m’importe, ainsi qu’aux adhérents E. Leclerc qui relayent, sur leur site, cette manifestation consacrée à la promotion du 9ème Art. Or, ce qui vient de se passer à Angoulême illustre le décalage entre les ambitions présentes du festival et les moyens de gestion dont il est doté. L’affaire reprochée à JMT ne se serait jamais passée de la sorte dans une association bien organisée (contrat préalable, délégation de pouvoir, limite de mandat, validation des décisions). 4) Plutôt que de polémiquer sur le passé ou le présent, il faut savoir tourner une page et travailler sur une forme d’organisation plus professionnelle et plus responsable, sans que ne soient altérés l’esprit du festival, son originalité, sa convivialité. J’ai écrit à D. Bréchoteau pour qu’une telle réflexion soit menée. Le maire d’Angoulême, Ph. Mottet, lui a aussi écrit dans ce sens. Je retiens de sa proposition deux objectifs partagés : - « Une modification des statuts prenant en compte la représentation de tous les partenaires, ceux qui sont aujourd’hui au bureau, mais aussi l’Etat, la région et les éditeurs ». (Je confirme d’ailleurs le souhait de ces derniers d’y participer). - « La création d’un Conseil de gestion…assistant le bureau dans ses choix ». Il va falloir assurer l’intérim. La prochaine manifestation aura lieu en janvier 2007. Pas facile, tant le moral de l’équipe a pris un coup. Il faut surtout assurer la pérennité du FIBD. Avec mon groupe, je répondrai présent à toute sollicitation. Mais la réorganisation des processus de décision est un préalable, pour nous, pour tous les partenaires et pour la crédibilité de l’équipe qui va reprendre en main cette manifestation nécessaire à la promotion de la bande dessinée.

28 Commentaires

A propos de livre, je vois que vous affirmez :
"Puisque maintenant la loi Lang garantit la même marge à tout le monde, il n'y a pas d'argument pour s'opposer à la diversité du réseau de librairies." (http://www.michel-edouard-leclerc.com/content/xml/defense_livre.xml)
la marge brute=prix de vente-prix d'achat d'un produit
Vous croyez vraiment que tout le monde a les mêmes px et donc conditions d'achat?? Selon la loi les CGV (conditions de ventes)de base sont les mêmes ce qui ne veut pas dire biensûr que le prix d'achat du livre est le même pour tous les libraires et point de vente du livre puisque c'est négocié selon des critères qualitatifs et surtout quantitatifs. Il y aura de vraies possibilité de diversité le jour où les critères qualitatifs seront autant pris en compte que les quantitatifs. Merci de rectifier votre phrase fausse ou de m'expliquer pourquoi je me trompe.
Un peu trop subjectif comme critère le "qualitatif" ;)
http://www.culture.gouv.fr/culture/dll/prix-livre/prix-2.htm
"La définition plus précise des critères d'attribution de la remise qualitative instaurée par la loi sur le prix unique du livre a été l'un des thèmes de la concertation interprofessionnelle mise en œuvre, en septembre 1990, par le médiateur désigné par le ministre de la culture, M. Patrice Cahart. Le premier protocole d’accord sur les usages commerciaux de la librairie, établi par M. Cahart, a défini les critères qualitatifs destinés à une application de l’article ci-dessus mentionné.
Quels sont les critères qualitatifs à prendre en compte ?
Ces critères sont notamment :
- le suivi et la mise en vente des nouveautés ;
- la présentation d'un vaste assortiment (stock du libraire composé au moins pour moitié d’ouvrages de fonds, tous éditeurs réunis, les ouvrages de fonds étant considérés comme les ouvrages dont la parution remonte à un an au moins) ;
- l’ouverture de la librairie à tout public ;
- l’existence d’une ou plusieurs vitrines sur la rue ;
- la formation spécialisée reçue par un tiers au moins du personnel de la librairie employé à la vente de livres ;
- la réception par le libraire des représentants de l’éditeur ou du diffuseur ;
- la participation aux campagnes nationales ou locales de promotion en faveur du livre ou de la lecture, l’organisation de séances d’animation ;
- la commande d'un ouvrage à la demande d'un client ;
- l'information de la clientèle par la mise à sa disposition de catalogues et documents bibliographiques ;
- la vente de livres dans des zones à faible densité de population. "
Bonjour,
La bande dessinée, c'est comme
la bande des cinés, quelquefois
c'est une véritable mafia.
Il n'y a pas eu beaucoup de commentaires ?
Vive le Printemps des Poètes. Il faut aussi en parler ?
Monsieur Leclerc,
Je suis cadre dans une entreprise privée. Il m'arrive parfois d'y lire le journal et d'y parcourir des magasines.
Il y a quelques jours, j'ai lu un article de l'Expansion (journal a priori sérieux). Vous y étiez présentés dans le rôle de simple communicant de votre groupe. Mais dans le même temps, l'article insistait sur le le lien de dépendance à l'égard des membres de votre groupe, et l'on ne comprenait pas très bien qui tenait les rênes, qui faisait quoi et à qui attribuer la performance dont on crédite généralement l'enseigne Leclerc.
Cela tenait plus du village gaulois avec le poissonnier, le forgeron, le barde, (et les femmes...) que de l'entreprise. Vous qui aimez la BD, vous avez certainement apprécié!
Dites nous simplement la vérité à propos des portraits de cette galerie? Si ça nest pas exacte, quelle part faites-vous entre la communication (rôle non contesté) et le management?
Bref, qui dirige chez Leclerc?
Merci.
tout simplement Bravo M.E.L. !!!
Accepter de jouer le jeu au risque de subir des critiques acerbes (cf. plus haut) est là, la définition même de l'esprit E-Leclerc : Proximité affirmée.
J'espère simplement que vous etes vraiment M.E.L. et non pas une stagiaire du Service Communication Marketing employé en mission de courte durée.
Sincèrement admiratif,
Moi-même.
et effectivement Thévenet est sur les plaquettes du site de la biennale du Havre.. mais est-cela le fond de l'hisoire..?
Je laisse en lien mes notes sur ce sujet..
Cyrille
je cherche un partenariat avec votre enseigne
pour la distribution gratuite d'un jeu de cartes
en 100 000 exemplaires.
Investissement pour vous : 0 €
Bénéfices : notoriété accrue , soutien aux oeuvres humanitaires et une prime de 150 000 €
le concept peut se décliner à l'étranger
Cordialement
Jl GARDRINIER 41 r Arabie 35400 st malo
02 23 52 28 48 ou 06 88 07 91 68
Bonjour,
Je suis désolé d'encombrer votre blog avec ceci, mais je souhaiterais m'entretenir avec vous d'une affaire de grande envergure touchant à la BD. Je tiens à votre disposition un résumé de mon parcours qui vous prouvera le sérieux de l'affaire et un executive summary. Dans l'attente de rentrer en contact avec vous.
Bien cordialement,
Olivier Thierry
(othierry-web@club-internet.fr)
bonjour
coup de gueule sur le festi bd de moulins 03000
depuis cette annee les festidb de moulins a ete phagocyte par votre espace culturel. les 2 petits libraires qui aidaient les autres annees on ete ejectes,les bouquinistes ont ete ejectes de la salle de dedicace, les soi disants benevoles sont majoritairement des salaries de l'espace culturel, de plus pour entrer dans la salle des fetes il fallait ouvrir son sac et si on venait avec des bd les faire marquer ce que j ai refuse et donc j'ai fait demi tour
je trouve que monopoliser sur une petite ville un evenement culturel n est pas un bienfait pour la defense de la culture
Lewis Trondheim, actuel "Grand Prix" du festival international de la bande dessinée d'Angoulême, vous a attaqué de plein front en affirmant publiquement vouloir vous évincer de la manifestation. Il a également suggéré que l'on crée un prix "Auchan", un prix "Carrefour" ou encore un prix "Casino".
J'avais cru comprendre - à travers des interviews que vous avez données ou des actions que vous avez menées en faveur du "9e art" - que vous aviez un vrai rapport affectif avec la bande dessinée. Et j'imaginais que ces propos doivent vous blesser. Je m’étonne donc que vous n’ayez pas répondu à Lewis Trondheim.
— Parce que vous n'étiez pas au courant ?
— Parce que vous préférer tendre la joue gauche lorsque l’on frappe sur la droite ?
— Parce qu’on ne parle pas à une brouette : on la pousse !?
Réponse à Olivier Thierry (16/03/06)
Vous pouvez m’envoyer votre projet directement (ACDLec, 52 rue Camille Desmoulins, 92451 Issy-les-Moulineaux).
Réponse à gardrinier (16/03/06)
Nous sommes des distributeurs. Pas de problème pour étudier la commercialisation d’un produit déjà élaboré, manufacturé et conditionné. Si c’est le cas et si vous avez un accord de partenariat avec un diffuseur, vous pouvez toujours en faire la proposition à notre équipe d’achat (Galec, GT4 Jouets, 52 rue Camille Desmoulins, 92451 Issy-les-Moulineaux). Mais attention, il y a beaucoup de propositions de ce type sur le marché.
Réponse à Francis (14/03/06)
Permettez au chef d’entreprise que je suis de partager votre point de vue. Si l’on veut réconcilier les jeunes et l’entreprise, il ne faut pas développer la précarité.
Mais le gouvernement n’est pas seul responsable. En restant figés sur les acquis traditionnels, les syndicats n’ont pas voulu faire évoluer le CDI en lui donnant plus de simplicité et de flexibilité. Pour les petites entreprises notamment, dont les perspectives de chiffre d’affaires sont souvent aléatoires. Vous savez bien qu’en France, il est pratiquement impossible de licencier une personne (pas forcément un jeune) malgré une chute de chiffre d’affaires. La procédure de licenciement économique est lourde et coûteuse. C’est la raison pour laquelle, à tort ou à raison, des patrons finissent par ne plus vouloir embaucher. Rigidité syndicale, facilité patronale, voilà deux maux dont il faut se prémunir.
Réponse à CLEMENT (14/03/06)
Cet article de l’Expansion m’a d’autant plus surpris que le journaliste prétendait faire une « vraie et profonde investigation sur le modèle économique E. Leclerc ». Le résultat est pitoyable. Personnellement, j’accepte la critique et je conçois que d’autres apprécient mon rôle en mode mineur. Mais alors, il eût fallu créditer mes adhérents des succès dont toute la presse économique s’est fait l’écho en fin d’année 2005 (plus belle croissance des hypermarchés, creusement de l’écart avec Carrefour, plus forte fidélité, capacité de fédérer d’autres distributeurs indépendants européens, etc.).
Comme quoi l’Expansion n’est peut-être plus le journal sérieux qu’il était. Peut-être cède-t-il désormais à la mode du « politiquement incorrect ». En tout cas, votre commentaire me donne l’occasion de pouvoir ré-expliquer comment fonctionne réellement la Coopérative des Centres E. Leclerc. Je me propose d’en faire une note la semaine prochaine. Non, pour en faire la publicité ou l’hagiographie. Mais je crois beaucoup au mode coopératif et à notre mode de management. Il peut, il doit faire école. Nous pouvons, à travers notre exemple, donner les moyens à d’autres entrepreneurs du secteur industriel, ou même à tous ces jeunes qui se précipitent pour constituer des sociétés de services ou encore des offres sur internet, de créer un cadre extrêmement efficace de direction d’entreprise.
A la semaine prochaine donc.
Réponse à Micka (14/03/06)
Oui, oui, oui, je suis vraiment M.E.L. Et personne d’autre ne l’est. J’espère bénéficier d’un CDI suffisamment long pour pouvoir continuer…
Réponse à sof (10/03/06)
La loi Lang a été votée pour empêcher « les politiques de prix d’appel » attribuées aux hypermarchés, pour protéger les libraires, notamment ceux qui vendent du fond. Soit. Nous voilà donc tous au prix unique diminué, pour les meilleurs d’entre nous, de la seule remise possible : moins 5 % sur le prix de vente public TTC.
De ce fait, les libraires ne peuvent plus invoquer la concurrence des méchants généralistes pour justifier ou expliquer la perte de performance des librairies indépendantes. Elles dénonçaient le manque de professionnalisme des hypermarchés. Certains même visaient la Fnac. Eh bien, aujourd’hui, la Fnac, les meilleurs espaces culturels Cultura ou Relay, ou les grandes surfaces spécialisées sont garanties de pouvoir obtenir la même marge que les libraires. Et paradoxalement, c’est une des marges les plus élevées de toute la distribution. C’est probablement pour cette raison que les enseignes d’hypermarchés y trouvent une rentabilité suffisante pour développer leurs réseaux. Je ne pense pas que c’était le but recherché par ceux qui préconisaient le prix unique du livre.
La réponse que vous venez de faire en disant qu'il s'agit de la réponse à mon commentaire ne s'adresse visiblement pas à moi car je n'ai pas incriminé aucun point de vente du livre, mais j'ai parlé d'une situation et j'ai posé une question technique sur le terme de marge. Il est regrettable que par un amalgame, vous fassiez retomber vos propos au raz des paquerettes dans une harangue opposants les libraires et d'autres points de vente du livre. Monsieur, la définition technique de marge que j'ai proposé plus haut est-elle juste? Dans ce cas, votre propos est faux : "...ou les grandes surfaces spécialisées sont garanties de pouvoir obtenir la même marge que les libraires" dans le cas contraire, je ne demande qu'à m'instruire.
Bjr
Je fais suite à votre analyse concernant le directeur du festival de la BD d'Angouleme que votre groupe soutient, comme d'autres événement tel que BREST 2004 et autres.
L'implicationd e votre entreprise pourrait éventuellment prendre une dimention différente en proposant l'utilisation de votre carte de fidélité : en effet, les clients de votre enseigne pourrait simplement utiliser ce support pour acheter des billets d'entrées ( validation pour 1 ou pusieurs personnes par Internet) à de telles manifestations, en bénéficiant des économies éventuellement réalisées, et entrer directement à l'événement avec cette même carte de fidélité : vos clients bénéficieraient la d'un véritable service innovant et fidélisant.
Qui gére dans vore groupe ce type de service afin que je puisse lui présenter les outils?
Bonne reception
F DUBOIS
Réponse à DUBOIS (30/03/06)
Effectivement, on pourrait imaginer que les propriétaires de carte de fidélité puissent bénéficier d’une entrée spécifique à Angoulême. En fait, après avoir hésité, nous préférons, pour le moment, abonder la carte en bons d’achat. C’est ce que préfèrent les consommateurs. Mais la suggestion mérite d’être retenue.
Réponse à sof (24/03/06)
Excusez-moi, je n’arrive pas à comprendre votre question. Mon propos est tout simple : les prix de vente sont quasiment identiques sur le livre (hormis le rabais légal autorisé pratiqué par toutes les bonnes librairies). Et les remises sur tarif oscillent pour les grandes surfaces spécialisées comme pour les bons libraires autour de 35 %. C’est ce qui me fait dire, à epsilon près, que les marges sont identiques.
Bonjour MEL,
Il me semble qu'une éternité se soit écoulée depuis mon dernier passage en vos quartiers bloguesques, tout occupé que j'étais à promotionner mon travail (partie de l'activité de dessineux que je ne goute que peu, mais nécessaire), et préparer l'arrivée d'un évènement toujours qualifié d'heureux :)
Pas de news côté BD depuis Angoulême ?
J'espère vraiment avoir un jour l'occasion de parler boutique (pas Centre commercial, mais bien bulles et cases) avec vous.
A bientôt.
ian
Re ian dairin (16/05/2006)
Salut, ian. Comment allez-vous. Que faites-vous en ce moment ?
Monsieur,
Vous vous dites le moins cher... Mais iriez-vous jusqu'à la gratuité ? Cette insolence en guise d'introduction à une demande collective dont je me fais ici la porte-parole. Nous organisons les 19 et 20 août prochains un festival de théâtre dans le petit village de Saint-Médard, dans le Lot, situé à proximité de Cahors, où se trouve un de vos magasins. Nous ne bénéficions pour le moment d’aucune subvention et seule la bonne volonté et l’enthousiasme des habitants soutiennent notre effort. Nous sommes un groupe de passionnés, exerçant pour la plupart des métiers en rapport avec le théâtre (attachée de presse, chargé de relations publiques, libraires spécialisés, chargée de production, journaliste, éditrice) et nous avons lancé ce festival avec un entrain qui ne suffira pourtant pas à nourrir complètement les artistes invités à cette première édition de notre festival et ses organisateurs. Ce pourquoi nous pensions contacter le magasin Leclerc de Cahors pour lui demander de nous céder à très vils prix, voire de nous offrir, quelques denrées pour alléger nos frais de fonctionnement pendant la semaine de répétition et les deux jours de représentation de notre festival. En échange (ou plutôt en contre-don), nous ne pouvons pas vous offrir grand chose sinon la présence du logo de votre entreprise sur nos affiches et notre évidente reconnaissance.
Cette demande semblera peut-être incongrue sur votre blog, j’ignore même si vous en aurez connaissance et si notre demande vous paraîtra recevable… J’envoie ce message comme une sorte de bouteille à la mer, en espérant que, peut-être, celle-ci parviendra jusqu’à vous…
Dans l’espoir d’une réponse de votre part, recevez, Monsieur, l’expression de nos sincères salutations.
Catherine Robert
Bonjour,
je ne vous connaît qu'aux travers de vos actions et de la passion que vous portez a la bande dessinée et a sa promotion, a se juste titre, il me serai normal qu'avec toute cette devotion, vous devriez être le représentant pour 2007.
Cordialement,
Re MEL (30/05/2006)
Bonjour,
En ce moment j'attend des nouvelles de Marcinelle... KatZ pointera ses moustaches dans Spirou un de ces jours (pas de date pour le moment). Un album collectif primé à Angoulême (ça tombe bien dans ce sujet non ?), Amiante, Chronique d'un crime social.
Sinon des projets plein la tête (rien de plus normal quand on est passionné n'est-ce pas ? ahahah), un bébé sur le point d'arriver et un blog... une vie simple quoi...
ian
Re MEL (30/05/2006)
Juste un petit mot pour vous dire que d'une part mon fils est né et qu'il va très bien, et que d'autre part, KatZ sera bien dans Spirou : j'ai eu de bonnes nouvelles de Marcinelle finalement.
ian

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