ÉCONOMIE
Engagements
Peut-on parler réellement d’appauvrissement de la France ?
C’est Stéphane Marchand, responsable des pages « Opinions » du Figaro qui a lancé, depuis hier, ce débat. Ont été sollicités les avis de Michel Rocard, Alain Madelin, Laurence Parisot, Bernard Salanié, et bien sûr les lecteurs du quotidien. Je vous livre ma contribution de ce matin.
Vu de la ligne de caisses d’un hypermarché, le débat sur l’appauvrissement de la France a des airs franchement surréalistes.
1) Dans notre pays, il y a des pauvres, beaucoup et trop de pauvres. Plusieurs millions de nos concitoyens « rament » pour boucler leurs fins de mois. SDF, sous-smicards, chômeurs, mais aussi familles surendettées constituent les premiers clients des magasins « hard-discount » ou de ce qu’on appelle les « premiers prix » dans les supermarchés. Dignement, ils arrivent en magasin avec les catalogues publicitaires. Ils ont cerclé les promotions, ils font la chasse aux produits les moins chers. La misère n’est pas inscrite sur leur front. Mais, parfois, ce sont de bons samaritains (curés, instits, notables…) et des ONG (Secours Populaire, Secours Catholique ou banques alimentaires) qui sollicitent l’acquisition de produits de première nécessité. Sont-ils plus nombreux aujourd’hui ? Difficile de le dire. Dans nos mégalopoles actuelles, on les voit plus que dans la France rurale d’hier. De ce fait, ils s’imposent à notre conscience.
2) Mais rien ne permet, dans le comportement des consommateurs français, de parler d’un appauvrissement général. Au contraire. Jamais il ne s’est vendu autant de produits : des biens utiles, mais aussi des denrées chères, des produits mode, des produits plaisir…
Le niveau de vie des Français s’est considérablement amélioré. La baisse des produits agricoles, mais aussi l’élévation des revenus moyens ont permis « l’extension du domaine de la dépense ». De 30 %, dans les années 60, la part consacrée à l’alimentaire dans le budget des ménages est passée à 15 %. Les biens d’équipement, de la personne ou de la maison, la voiture et les transports, les services de santé et les produits de loisirs (35 heures obligent) constituent les nouveaux secteurs d’achat. Rien à voir avec la structure de consommation des pays réellement pauvres.
Pour s’en convaincre, il suffit de faire le tour des magasins de la planète. Comparés aux linéaires des supermarchés implantés dans les Pays de l’Est, en Asie ou en Amérique Latine, et même dans des pays européens limitrophes (Espagne, Portugal, Italie), les étals français offrent des menus de roi.
3) Paradoxalement, c’est l’accroissement du niveau de vie et les changements des modes de consommation qui ont entraîné, ces dernières années, une frustration d’un genre nouveau, un désenchantement dont je prophétise qu’il va durer encore longtemps.
Jusqu’à la dernière décennie, nos concitoyens pouvaient arbitrer leurs dépenses, sans trop s’endetter. Manger chez soi ou au restaurant, louer à la montagne ou partir au Club Med, limiter le cinéma pour acheter une télé… On restait dans des niveaux de dépenses gérables dans le temps. On différait l’achat d’un bien pour profiter d’un autre.
Dans la société actuelle, tout doit pouvoir être accessible. Tout et tout de suite. La pub pousse à la consommation, c’est l’offre qui impulse la demande et crée le besoin. Même s’il n’y a plus, à proprement parler, de mode collective, la non-consommation est vécue comme un appauvrissement. Résultat ? On puise dans l’épargne ou on s’endette.
Or, un écran plat, c’est deux fois le SMIC. Les sports d’hiver pour une famille ? L’équivalent de six à sept mensualités de salaire, au mieux ! Sans compter (sic) toutes ces nouvelles dépenses immatérielles qui, du téléphone mobile à l’abonnement à internet, grèvent inexorablement le budget familial.
Ponctionné par ces charges nouvelles, le pouvoir d’achat n’augmente plus. Si l’on enlève les dépenses liées au remboursement d’emprunts, aux loyers, à l’énergie et aux transports, la part « libérable » des revenus s’amoindrit. D’où cette frustration, le sentiment de « perte de pouvoir d’achat » qui exaspère aujourd’hui les Français et une partie des Occidentaux.
4) C’est ici que s’opère la confusion : il y a des pauvres, mais la France n’est pas pauvre.
Quoi qu’on dise de leur impact, les dépenses obligatoires liées à ces nouveaux modes de consommation participent de l’amélioration de notre niveau de vie. L’augmentation du prix du pétrole intervient comme une fiscalité nouvelle, mais c’est parce qu’on a acquis une ou deux voitures. L’augmentation de l’endettement des ménages est souvent le corollaire d’un accès à la propriété, et les cotisations santé représentent bien le financement d’une consommation future.
Les affirmations péremptoires sur la paupérisation des Français occulte cette vision des choses.
5) Pour les professionnels du secteur de la consommation, l’irrationalité du débat ne change rien. Il nous faut malgré tout répondre à ces attentes sociales, tenter de rester les moins chers et continuer à offrir des premiers prix et des soldes, y compris pour une population qui en profitera pour partir aux sports d’hiver ou s’acheter des grands crus dans les foires aux vins. Pour ceux-là, c’est avant tout une question de choix, d’arbitrage.
Mais pour le politique, l’impératif est tout autre. La lutte contre la pauvreté devrait être une priorité. Tout le monde, cet hiver, aura entendu parler de Don Quichotte. Mais c’est dès les années 50 que déjà l’Abbé Pierre tenait les mêmes propos. On ne peut pas dire que la mobilisation des différents gouvernements ait été à la hauteur de ces cris de détresse.
A force d’entretenir un discours trop général sur l’appauvrissement de la France, on a fini par cautionner un déficit d’action…et probablement aussi une indifférence à l’égard de la vraie pauvreté.
28 Commentaires
Enfin je pense que le seul critère valable, ça n'est pas cette "impression de pouvoir d'achat" décrite, mais tout simplement le nombre de personnes qui vivent en-dessous du seuil de pauvreté en France.
C'est un critère tout bête, mais je pense qu'à partir de ces chiffres là, de l'évolution du nombre de ces personnes sur les 20 dernières années, on peut vraiment lancer le débat.
Sinon, je ne suis pas d'accord avec le fait que l'on dise que c'est la publicité qui pousse le consommateur à acheter.
Déjà, ça dépend de la personne qui reçoit le message publicitaire, bien sûr, mais surtout, la publicité informe des prix et avant tout, des nouveaux produits.
C'est le changement incessant des produits qui fait consommer de plus en plus.
Un exemple bien récent. Le DVD, c'est pas vraiment très vieux, et déjà, il y a le nouveau super DVD...
Et les plasmas, on peut pas dire que ça coute 2 SMIC, j'en ai déjà vu à 600 euros...
Et quand on achète une nouvelle télé, maintenant, il n'y a quasiment plus de modèle à tube cathodique.
Quelques remarques qui me viennent à l'esprit.
L'autre jour, je faisais la queue à La Poste pour récupérer une lettre recommandée, devant moi une dame était venue retirer de l'argent, elle voulait 15 euros, mais n'avait que 6 euros sur son compte ...
J'ai vu un reportage sur le marché locatif en Île de France, ils montraient un couple, la quarantaine, avec deux enfants, les deux travaillaient et avaient des salaires confortables, le propriétaire exigeait que les deux parents du couple se portent caution ...
J'ai aussi vu qu'un promoteur immobilier et un organisme de crédit proposaient des logements avec un prêt sur 50 ans, ils ne donnaient pas le taux, mais pour un achat de 200 000 euros, les remboursements étaient de 1 000 euros par mois, soit un coût total de 600 000 euros. Si pour cause de chômage, le ménage n'arrive plus à payer dans 20 ans, l'organisme de crédit va mettre en vente le logement et le couple ne récupérera rien, car pendant ces 20 ans il n'aura remboursé qu'une partie des intérêts.
Un domaine où il existe un réel déficit de l'offre, ce sont les logements et plus particulièrement les logements sociaux. Près de 70 % de la population française remplit les condition pour avoir accès aux logements sociaux, bien entendu ils ne sont pas tous réellement pauvres, mais beaucoup le sont. Parmi eux, nombreux sont ceux qui n'arrivent pas à boucler leurs fins de mois, car ils n'ont pu avoir accès à ces logements sociaux.
Ne serait-il pas possible d'accroître l'amende pour les communes ne respectant pas la Loi Besson sur la proportion de logements sociaux, pour la rendre réellement dissuasive ?
Amitiés à MEL et aux autres.
Juste une petite pensée pour l'Abbé Pierre bien que nous nous orientons de plus en plus vers la laïcité, juste pour dire que c'était un grand bonhomme.
Tchao M.E.L.
Je n'espère pas qu'un jour, un gouvernement, une municipalité, un département, une région quelque soient leurs couleurs, suppriment les aides actuellement existantes. J'ai vu, dans le cadre de mon bénévolat auprès d'un syndicat (défense interprofessionnelle) un et un seul contrat de travail à durée indéterminée à temps partiel de 7,93 heures MENSUELLES payé au SMIC. Bon, c'est très rare et c'est même la première fois qu'on voit ça et heureusement. Mais, sur le coup, ça m'a fait très peur. Bien sûr que le niveau de vie n'est pas si mauvais que cela en France, mais l'Etat s'endette...
Tchao M.E.L.
Je ne sais pas comment ils font et je ne comprends pas pourquoi ils le font. Ma situation est dure, donc je fais en sorte de dépenser le moins possible notamment sur l'inutile comme le portable (qui n'a d'utilité réelle que professionnellement), la TV payante, remplacer alors qu'ils marchent, des appareils pour acheter le dernier sorti.
MAIS L'ETAT C'EST NOUS !...
Tchao Florentin
L'abbé Pierre n'était pas un anonyme, c'était un homme du sérail aux relations hauts placées (il avait sauvé la vie du frère de De Gaulle, ça crée des liens), un homme politique (député), tout ça avant de fonder Emmaus.
C'était aussi un homme aux relents antisémites qui remettait publiquement en cause l'existence de toutes les chambres à gaz et qui se déclarait soulagé que les négationnistes (qu'il a soutenu publiquement en la personne de Roger Garaudy, condamné ensuite par la justice pour provocation à la haine raciale et négation de crimes contre l'humanité) remettent en cause l'holocauste. C'était, il y a 10 ans, la presse n'a pas voulu abimer le héros en le rappelant, mais la LICRA l'a exclu définitivement.
Ce qui est inquiétant c'est de voir qu'il a été ces dernières années la personne préférée des Français.
Il a fait de bonnes choses et de mauvaises choses. Son moi intérieur partagé entre de bonnes choses et de mauvaises choses. En tout cas, ce n'était pas un saint, alors si on pouvait arrêter d'en faire un héros sans peur et sans reproche, ça serait une bonne chose.
Mais un pays qui s’endette est aussi un pays qui régresse économiquement.
Certes les français consomment plus, mais la croissance ne décolle pas. Ce qui veut bien dire que les biens consommés ne sont pas ceux qui favoriseraient le développement économique. En fait cela traduit surtout que nous importons de plus en plus de produits à moindre cout.
Même si, à brève échéance, c'est une situation qui peut donner l'illusion que tout va bien, que l'argent est là, rien ne permet d'affirmer que ca va continuer ainsi.
Vous dites que certes il y a des pauvres, mais la France n’est pas pauvre. Et pourtant personne ne niera qu'il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi. Je pense particulièrement aux jeunes et aux plus de 50 ans. Le secteur industriel par exemple a perdu 100 000 emplois en 2005. Donc si la France n'est pas pauvre, est-ce à dire que les inégalités sociales s'accroissent? Personnellement je le crois. Pour preuve, la consommation des produits de très grand luxe explose. Ce qui traduit encore une autre réalité. Celle que les riches sont de plus en plus riches, au détriment de la classe moyenne et des exclus.
A force d’entretenir un discours général sur l’appauvrissement d'une certaine France, on a finira peut être par agir là où c'est nécessaire, pour ne pas rester indifférent à l’égard de la vraie pauvreté.
Les faits sont là : 7 millions de français gagnent moins de 800 euros par mois et 50 % moins de 1200 euros. A ce niveau beaucoup se sentent probablement pauvres mais le niveau de vie ne devrait-il pas d'abord mesurer le niveau du bonheur de vivre? Consommer des quantités de produits ou de services de plus en plus rapidement renouvelés sous la pression de la pub, ou la pression sociale via les enfants ou les collègues ou les proches dans une ambiance de plus en plus précarisée où les inégalités se creusent, à l'intérieur d'un système quasiment figé, ne fait qu'accentuer les angoisses et les frustrations. Les écarts d'espérance de vie entre riches et pauvres restent les mêmes, l'ascenceur social est étriqué, l'accès au logement décent difficile, la santé à 2 vitesses est entérinée, les emplois temporaires se généralisent, et la réforme du statut de l'élu est remise à demain.
Alors, bien sûr, on peut consommer ces produits fabriqués en Asie à moindre coût pour le moment, mais rien de plus virtuel que les bases de ces coûts et où en sont les frustrations et les illusions de ceux ou celles qui les fabriquent?
Amicalement et bonjour à tous
Jean-Marie Lecocq
la FRANCE pouvait etre un pays a la hauteur mais nous avons ètè tous pris de cours.Il est vrai que la distribution ne doit pas forcement ressentir cela car elle s'est adaptee avec des produits premier prix dans chaque FAMILLE de produit. LA DISTRI suit l adequation et c'est tant mieux.
D'autre part, il s'avère comme vous le faites remarquer que pour s'équiper en bien nouveau les foyers ont recours au crédit et non plus à retarder leurs achats et épargner. Ce crédit disponible ils ne vont pas le chercher au pret de leurs banquier mais sur la carte de fidélité du magasin dans lequel ils vont effectuer l'achat. Et en caisse 2 choix s'offrent à eux, le crédit à faible taux d'intéret et remboursement par grosse mensualité; ou les petites mensualités pendant de très longues années d'où des taux d'interets exhorbitant de 20%. Hélas c'est évidemment la seconde solution qui est la plus choisie et qui conduit au surendettement des ménages les plus pauvres. Apparemment ces cartes de grandes enseignes sont distribuées sans réelles controles par les hotes en magasins sur la simple bonne fois du client, une réforme de la loi me semble obligatoire dans ce secteur de la consommation mais bon aucun politique ne va prendre le risque de se facher avec les commerçants...
Le fait que les candidats promettent tout et n'importe quoi et que les électeurs suivent.
Les gens veulent payer moins d'impôts, mais avoir toujours plus de services, plu sd'aides de toutes sortes.
Travailler moins, être mieux loger, mieux payer ect... mais personne ne leur dit que c'est impossible, au contraire on encourage les gens à une certaine forme d'irresponsabilité.
Notre ministre du budget était heureux d'annoncer que le déficit serait moins important que prévu (36 milliards d'euros au lieu de 43 "n 2005). Cette réduction de déficit n'est pas due aux économies de l'état (bien au contraire) mais aux bonnes rentrées fiscales (surtout grace aux entreprises sur lesquelles "on" tape toujours alègrement).
Une meilleure utilisation de l'argent public permettrait une meilleure redistribution de l'impôt en terme de services aux citoyens et d'aides aux plus démunis.
Pour cela il faudrait engager de véritables réformes.
- de l'administration
- de l'état et des institutions élues
- de la fiscalité
- du droit du travail
Qui le propose ?
Qui s'y intéresse objectivement ?
montagne ou club med ?
tele ou ciné ?
de qui se moquent on ?
la majorité des français veulent pouvoir manger chez eux en regardant les prog tv, grace a leur travail, sans pour autant avoir cette sale impression d etre privilegie.
resto, club med, montagne, cine....et pourquoi pas des vacances ?
Je suis heureuse d'avoir trouvé ton blog.
Il est très bien construit et riche en idées.
Je suis désolée pour Vince qui a l'air d'avoir un travail pénible ! du moins si il travaille dans un centre Leclerc !
Allez donc à la conccurence, Inter par exemple et comparez ! On choisit son métier, on le fait avec plaisir ou on en change.
J'ai été pendant 7 ans au service de MEL et je peux vous certifier que jamais je n'ai retrouvé un patron comme lui. Attentif et respectueux de tous. Même lorsqu'il est tracassé, il garde son sourire et sa gentillesse.
Ce n'est pas du cirage de pompe!!! comme certains le penseront mais une vérité. Je ne travaille plus avec lui et je le regrette.
Pour mémoire Michel, je suis ton ancienne secrétaire, standardiste quand nous étions rue St Honoré. Mes amitiés a Odette.
Je reviendrai te saluer de temps en temps.
Amitiés
Sylvie
D ailleurs je voudrais profiter de mon message pour feliciter la famille Pilon a rodez pour l'ouverture de leur nouveau magasin. bien a vous . gilles.
et de ses directeurs de centres.
OBJET: Concours de nouvelles/ Tirage important/ diffusion gratuite de littérature
Madame, Monsieur,
Nous vous serions très reconnaissants de diffuser l'information concernant l'existence de notre concours de nouvelles qui donne lieu à une diffusion gratuite de littérature dans plusieurs villes au mois de septembre 2007.
Le règlement se trouve sur notre site.
Ce partenariat, s'il en est, pourrait nous conduire à vous envoyer cette année quelques milliers de nouvelles pour vos clients dans tous les lieux de diffusion (la parution de toutes les villes concernées aura lieu au mois de mai sur notre site) en France et dans certaines grandes villes européennes,
engendrer peut-être un partenariat plus important l'année prochaine.
Dans l'attente de votre réponse, nous vous prions d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations les meilleures.
Sophie Dutheil,
Présidente
La Compagnie du Barrage
mail: compagniedubarrage@yahoo.fr
www.compagniedubarrage.com
5, Place du Marché des Chartrons
33000 Bordeaux
Tel: 05 56 44 30 11
comme je suis en france en AT, j'ai été etonné de la misere dans dans mon pays et je fais comme
il m'est possible pour aider les autres dans la mesure de mes moyens!,pour cela je voudrai vous remercier pour le prix et la qualité des produits ECO+, grace à eux j'ai la possibilité d'aider des gens honnétes mais qui sont par la force des choses dans la misére!merci pour votre action contre les prix!
cordialement Christian GALIOT
Actuellement ce sont trois cent jeunes qui, à St Etienne et Toulouse, encadrés par des professionnels de haut niveau, apprennent en atelier un métier porteur (notamment mécanique pour la sous-traitance aeronautique, tôlerie-chaudronnerie, maintenance informatique et des réseaux, optique lunetterie, prothèse dentaire ...). Pratiquement tous ceux qui auront suivi le cursus réussiront à l'examen final (CAP, BEP, voire Bac Pro pour ceux qui poursuivent) et trouveront un travail en CDI.
Pour continuer, ces écoles ont besoin que les entreprises les désignent comme affectataire d'une partie de la taxe d'apprentissage qu'elles doivent verser avant fin février.
En serez vous ? IL Y A URGENCE
Raymond Coutanceau (ancien du lycée privé Ste Geneviève)
J'ai un gros problème de service-après vente, et personne ne semble vouloir me communiquer votre adresse afin que je puissse exposer ma situation; ce qui fait que mon problème perdure depuis le 14 décembre 2006.
A quou bon avoir un site WEB dans ces conditions.
Je suis Président fondateur de l'Association des Collectionneurs de sacs Plastique Publicitaires / ACSPP qui compte plus de 150 membres en France et dans le monde.
Ma collection de 18300 Sacs Plastique Publicitaires (SPP) gérée sur ordinateur a été homologuée dans le GUINNESS 2001.
L'ACSPP est engagée depuis 2002 dans la défense de l'environnement. Notre méthode originale privilégie le changement "soft" des comportements des utilisateurs:
Par des expositions "EXPOSAC" couplées à des interventions ciblées sur le scolaire nous sensibilisons les visiteurs à la qualité et à l'esthétique des sacs collectors et ipso facto au respect de cet objet.
Nous projetons pour 2008 une opération de communication à l'occasion des 50 ans du SPP.
Je propose à la grande Chaîne de distribution E. Leclerc ,leader dans le domaine de la protection de l'environnement, de participer à notre initiative.
Dans l'espoir d'une réponse
Bien cordialement
Bernard CADOT
Président de l'ACSPP
"il y a des pauvres mais la France n'est pas pauvre".
Quelles méthodes doivent être adoptées pour que les baby boomer gardent un pouvoir d'achat arrivés à l'age de la retraite?
Quelles actions sont à mener pour que les jeunes puissent suivre des cours dans l'enseignement supérieur en étant autonomes et en bonne santé?
La pauvreté avait disparu en France à la fin des années 70. Elle revient au galop et s'exprime par des marchés parallèles où il se vend des effets de familles, des petites bricoles dont on se sépare pour manger.
La nourriture est récupérée dans les poubelles. Est-ce acceptable que de tolérer cela?
Des salariés lambda se nourrissent grâce aux restos du coeur.
Que faut il réformer pour que notre société vive correctement?
C'est vrai que les restos du coeur ont été inventé dans les années 80.
Toujours pas de solutions 20 ans plus tard et une fréquentation croissante.
Doit on juger un pays sur la santé de ses richesses ou sur la santé de ses pauvres?
Je crois que si la santé des pauvres devient la priorité en France pour chacun, alors un
pas important aura été fait.
Si la santé des pauvres devient la priorité européenne alors la cohésion des peuples prendra une autre envergure.
Si la santé des pauvres devient la priorité mondiale alors la logique de guerre disparaitra.
Bon 8 mai!